RETOUR
=GOUVERNANCE GLOBALE=

 


GROUPES OPAQUES DE DECISIONS


"Bilderberg" (monde), "le Cercle" (France), "CFR" (USA) et autres groupes de décisions non transparents qui prennent des décisions et des orientations de politique nationales et internationales.

A en croire certains, soit "ça n'existe pas", soit c'est "totalement inoffensif", "y'a pas lieu de s'inquiéter, braves gens". Et mon cul, c'est du poulet ?

La réalité: un groupe informel des plus riches patrons de banques, des plus gros intérêts industriels et de politiques en tous genres, comptant des présidents ou des rois, se réunissent régulièrement, de façon opaque, dans un secret certain, défendus par des gens en armes interdisant tout accès, pour prendre des décisions unilatérales de façon totalement ANTI DÉMOCRATIQUE concernant l'avenir du monde et des pays, aux plans économique, commercial et politique. En sortant de ces réunions, ils ont comme objectif d'user de leur pouvoir (grands médias contrôlés) (...) pour mettre en application ces décisions.

Le principe pyramidal du pouvoir, comme pour la construction européenne qui permet au pouvoir mondial de n'avoir qu'un interlocuteur. On constate effectivement la perte des souverainetés des nations, et donc des peuples. Simple étape du processus d'unification de leur nouvel ordre mondial

Quelques-uns croient même que nous (la famille Rockefeller) faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, caractérisant ma famille et moi en tant qu’internationalistes et conspirant avec d’autres autour de la Terre pour construire une politique globale plus intégrée ainsi qu’une structure économique – un seul monde si vous voulez. Si cela est l'accusation, je suis coupable et fier de l’être.” -David Rockefeller, Mémoires-

 


BILDERBERG

Des faits par Jesse Ventura

 

 

ILS EN PARLENT
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LIENS sur BILDERBERG:

END GAME

ENDGAME partie finale
Découvrir ce film choc


 

 

 


LE Dîner du
SIECLE :
"gratin" de droite & de gauche main dans la main.
Consigne: "Rien de doit transpirer"


 

La question est:
laisserons-nous des intérêts économiques privés guider nos vies ?
la
réelle démocratie laisserait-elle faire ça ?


 

 

 

CFR (USA)


 

 

Le NOUVEL ORDRE MONDIAL (N.O.M) ou "NEW WORLD ORDER (N.W.O)
LES INSTITUTIONS EXISTANTES


Cela désigne notre futur. De manière inéluctable et programmée. La volonté des dirigeants du monde, depuis longtemps, est l'unification du système monétaire marchand, le libéralisme économique mondial. Plus de contrôle, de centralisation du pouvoir. En ce sens, le processus est déjà entamé et mis en place depuis longtemps: les institutions internationales comme l'ONU, le FMI (fond monétaire international), la BANQUE MONDIALE, l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) existent bel et bien. Le G8, le G20 aussi. Leur bras armé aussi (l'O.T.A.N. (ou N.A.T.O.)).

La question n'est pas de savoir si nous voulons ou non un nouvel ordre mondial; la question est de savoir LEQUEL ? En effet, de part la courbe de la démographie, ou celle de la dette, exponentielles toutes les deux, nous arrivons à un point de rupture à plus ou moins brève échéance. La fin du capitalisme actuel est proche, car ce système est dépassé et a montré ses limites, comme le communisme, le socialisme, le fascisme, en leur temps.

D'une manière ou d'une autre, ce changement amènera, à l'heure du niveau de globalisation de communication et de technologie jamais atteint, un nouvel ordre mondial: une nouvelle façon d'ordonner le fonctionnement du monde. La question est de savoir: laisserons-nous une poignée de dirigeants décideurs mettre en place un système dans la continuité "capitalistique" actuelle, ou prendrons-nous en main ce changement, qui, d'une manière ou d'une autre, sera, par définition, un "nouvel ordre des choses au niveau mondial". C'est étymologiquement inévitable. Mais choisirons-nous lequel, ou allons-nous nous le laisser imposer ?


l'O.N.U.:

"fondée en 1945, après la Seconde Guerre mondiale pour remplacer la Société des Nations, afin d'arrêter les guerres entre pays"... On voit bien que ce n'est pas le cas, puisqu'aujourd'hui on envahi des pays sous mandat de l'ONU.

OKU


la BANQUE MONDIALE: L'outil pour asservir les pays "nécessiteux" par la dette

-Critiques
L'action de la Banque mondiale est souvent critiquée, cependant pour deux raisons opposées. D'une part, les gouvernements en place rebutent à prendre des mesures anti-corruption et à organiser de véritables élections. D'autre part, les mouvements altermondialistes accusent la Banque Mondiale de répondre davantage aux exigences des multinationales qu'à celles des populations locales.

« Des crises de légitimité engendrent des projets de réforme, tant à l’ONU qu’au Fonds monétaire international et à la Banque mondiale. Elles ont pour point commun une demande de transparence et de démocratie, d’une part, et une remise en cause des finalités et des modes d’intervention de ces organisations, d’autre part. »

-Influence des États-Unis
Beaucoup considèrent la Banque mondiale comme étant sous l'influence politique des États-Unis, entre autres a cause de la règle tacite qui donne au gouvernement américain le choix du président de l'Institution. Bien que les Européens bénéficient réciproquement de la présidence du FMI. Joseph Stiglitz a reproché aux pays européens de se satisfaire de cette répartition et donc d'être responsables indirectement de la mauvaise période traversée par la Banque mondiale.

Banque mondiale


l'O.M.S.

Critiques:
-Collusion avec l'AIEA
Les docteurs de l'Association internationale des médecins pour la prévention de la guerre nucléaire, Michel Fernex (ancien médecin de l’OMS) et Youri Bandajevsky dénoncent l'accord entre l'OMS et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), entré en vigueur le 28 mai 1959 par la résolution WHA12.40. Selon eux, cet accord minimise les risques de la radioactivité pour la santé publique. Pour la catastrophe de Tchernobyl, l'OMS avance le chiffre de 56 morts directs, alors que d'autres évaluations, dont celle du gouvernement ukrainien, vont de 50 000 à 150 000 morts.

En particulier, les actes de la conférence de 1995 à Genève et le rapport de la conférence de Kiev 2001 sur les conséquences sanitaires de la catastrophe de Tchernobyl n'ont pas été publiés. Le Dr Hiroshi Nakajima, directeur général de l'OMS de 1988 à 1998, a notamment déclaré à la télévision suisse que ces documents avaient été censurés à cause de l'accord avec l'AIEA.

Plusieurs manifestations ont eu lieu devant le siège de l'OMS pour demander la révision de l'accord avec l'AIEA. Depuis le 26 avril 2007, le collectif Independent WHO manifeste chaque jour devant les bâtiments de l'OMS à Genève.

-Entente avec les laboratoires pharmaceutiques
L'OMS a également été critiquée pour sa gestion de la crise du virus H1N123. Selon un rapport de Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, « De graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer eu égard des principales décisions relatives à la pandémie. » Les conflits d'intérêts d'experts ont aussi été critiqués.

OMS


le F.M.I.: Extrait des CRITIQUES du FMI (lire la globalité sur la page wiki)

-Politique considérée néfaste pour les pays en développement
Les critiques adressées au FMI ont pour source la plupart des organisations altermondialistes et proviennent également d'économistes réputés libéraux (tels que Milton Friedman) ou de la Banque mondiale. Elles considèrent que les interventions du FMI, même si elles permettent un dépannage momentané des pays du tiers monde qui les acceptent, aggravent la pauvreté et les dettes en supprimant ou diminuant la capacité d'intervention de ces États, ce qui les empêcherait de mieux régler leurs problèmes. L'argument principal se base sur le fait que le FMI préconise les mêmes recommandations économiques et globalement les mêmes plans d'ajustement structurel (essentiellement des privatisations et des ouvertures du marché intérieur) à tout pays demandeur d'aide, sans analyser en profondeur la structure de chacun. Sur la base du « Consensus de Washington », il préconiserait le plus souvent une plus grande ouverture aux capitaux, aux services et biens mondiaux, la privatisation des entreprises publiques ainsi que l'austérité budgétaire. On peut prendre comme exemple l'Argentine, qui était considérée comme un pays modèle par le FMI (pour avoir suivi à la lettre ses recommandations), mais qui a connu une grave crise économique en 2001, entraînant le chaos (avec cinq présidents en dix jours en 2001).

À ce sujet, l'américain Joseph E. Stiglitz a développé ces critiques, notamment sur la période 1990-2000, dans son livre La Grande Désillusion (2002). Au sujet de l'intervention du FMI dans les pays asiatiques, notamment l'Indonésie, l'économiste libéral Milton Friedman, a même déclaré que « sans le FMI, il n'y aurait pas le problème de l'Asie. Il y aurait peut-être des cas isolés, comme la Thaïlande, mais [qu']il n'y aurait pas une si grande crise à travers l'Asie »[réf. nécessaire]. La direction de la Banque mondiale s'est également montrée distante par rapport à la position du FMI et a renforcé l'impression que les deux institutions ne parlent plus systématiquement d'une même voix. M. James Wolfensohn neuvième président de la Banque mondiale, dans son discours du 6 octobre 1998, a déclaré « qu'il souhaiterait que les programmes de sauvetage financier attachent plus d'importance aux préoccupations sociales (comme le chômage) et que le FMI insistait trop en revanche sur la stabilisation des monnaies ».

Dans son livre The Globalisation of Poverty, Michel Chossudovsky impute au FMI l'éclatement de la fédération yougoslave, qui «est directement relié au programme de restructuration macro-économique imposé au gouvernement de Belgrade par ses créanciers de l'extérieur. Adopté en plusieurs étapes depuis 1980, ce programme a contribué à déclencher l'effondrement de l'économie nationale qui a mené à la désintégration du secteur industriel et au démantèlement graduel de l'État providence. Les tendances séparatistes alimentées par les divisions sociales et ethniques ont justement pris leur élan pendant une période d'appauvrissement brutal de la population yougoslave. »

Les populations peuvent être très critiques face aux politiques d'ajustement structurel (PAS). Par exemple, la population sénégalaise ne comprend pas pourquoi ce pays a dû privatiser tant ses chemins de fer, ce qui a abouti à la suppression de la ligne, que son Office national vétérinaire, mesure conduisant à l'élévation des prix des produits vétérinaires, entraînant un développement des épidémies et des parasites et aboutissant à décimer des troupeaux, abaisser la qualité sanitaire des animaux, et empêchant les exportations du bétail.[réf. nécessaire] La situation en Guinée et au Ghana18 est sensiblement la même. En Mauritanie, la suppression de la propriété collective traditionnelle de la terre a entraîné une concentration de la propriété foncière dans les mains de transnationales agroalimentaires.[réf. nécessaire]

Le problème peut être lié à la fois à une mauvaise connaissance du terrain par le FMI, et à une mauvaise communication de sa part.

Enfin, le FMI a subi un second revers en Amérique Latine, notamment en Argentine, dont le président Néstor Kirchner a rééchelonné unilatéralement la dette avec les créanciers privés, tout en escamotant 75 % de celle-ci. Après avoir retrouvé dès 2003 d'importants taux de croissance (autour de 9 %), elle a finalement décidé en 2005 le remboursement total de sa dette de façon anticipée prévue normalement en 2007, afin d'éviter l'étranglement de son économie par les intérêts, ce qui avait conduit à la crise financière selon Néstor Kirchner. Avec le remboursement de sa dette de 9,6 milliards de dollars au FMI, « L'Argentine commence à construire son indépendance », a dit M. Kirchner19. Le FMI s'est félicité du remboursement intégral de la dette de l'Argentine.
Critique des conditionnalités dites d'ajustement structurel[modifier]

Les critiques pensent que les conditions négociées avec le FMI, une entité supranationale, sous forme de plans d'ajustement structurel limitent la souveraineté des économies nationales en encadrant certains aspects de la politique de l'État.

Ils critiquent aussi l'impact de ces plans sur l'économie. De leur point de vue, l'action sur les salaires diminue d'autant le pouvoir d'achat nominal, la privatisation des entreprises publiques réduit la capacité de l'État à intervenir. De plus l'augmentation des importations mettrait souvent à mal les économies locales des systèmes de production traditionnels.

Selon eux, certains de ces plans, en entravant la réforme des terres agricoles tout en incitant à accroître le commerce des denrées agricoles, seraient parmi les causes des flux migratoires vers les villes, de l'extension des bidonvilles et de la pauvreté et de l'émigration vers les pays du Nord.[réf. nécessaire]

Ces plans sont aussi tenus pour responsables de la stagnation économique qui a frappé certains des pays qui les ont appliqués. Par exemple, la suppression ou la diminution des aides publiques pour l'éducation aurait dans certains pays handicapé la formation et nuit à la croissance. De même, des suppressions de programmes de santé auraient laissé le SIDA dévaster des populations, ainsi que l'économie en décimant la main-d’œuvre.

-Les retraits de pays
La Pologne s'est retirée du FMI en 1950 sous pression de l'URSS, avant d'y revenir en 1986.
La Tchécoslovaquie a été forcée de se retirer en 1954, avant de revenir en 1990.
Cuba s'est retiré depuis 1964.
L'Indonésie s'est retiré pendant deux ans, de 1965 à 1967.
Le 1er mai 2007, le président du Venezuela, Hugo Chavez a annoncé son intention de retrait de son pays de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international avec ces mots: « Il vaut mieux que nous en sortions avant qu'on nous ait pillés » et ce après avoir remboursé sa dette auprès du FMI en 2006. La menace n'a pas été mise à exécution.

Les pays non-membres du FMI au 1er Janvier 2010 sont : L'Andorre, la Corée du Nord, Cuba, le Liechtenstein, Monaco, Nauru, le Swaziland, et le Vatican.


-Le FMI et la Libye de Kadhafi
En 18 novembre 2008, le directeur du FMI, Dominique Strauss-Kahn, qui estime avoir eu « le privilège de rencontrer » Mouammar Kadhafi, conclut : « les entretiens que nous avons eu (sic) ont témoigné de notre unité de vues sur les réalisations de la Libye et sur les principaux défis auxquels elle est confrontée. Les réformes ambitieuses des dernières années ont produit une croissance forte (…) Le défi principal est de maintenir le rythme des réformes en cours visant entre autres à réduire la taille de l'État. »

Six jours après le début des émeutes de Benghazi qui commencent la révolte du peuple libyen, le 15 février 2011, un rapport du FMI, résumé par son directeur Dominique Strauss-Kahn, loue la bonne gestion par le colonel Kadhafi, l'encourage à « continuer d'améliorer l'économie », mentionnant son « ambitieux agenda de réformes »

FMI


Le G8

Le G8 (pour « Groupe des huit ») est un groupe de discussion et de partenariat économique de huit pays parmi les plus puissants économiquement du monde : États-Unis, Japon, Allemagne, France, Royaume-Uni, Italie, Canada et Russie.

Les dirigeants des pays du G8 se réunissent chaque année lors d'un sommet réunissant les chefs d'État ou de gouvernement, ainsi que les présidents de la Commission et du Conseil européens (ainsi que pour certaines activités, des représentants d'autres pays ou d'autres unions internationales, invitées à participer).

Durant toute l'année, le G8 dispose d'un agenda chargé dans le pays hôte, où se rencontrent les ministres et chargés de missions dans chaque domaine (économie et finances, défense et sécurité internationale, éducation, développement, etc.), afin de préparer l'agenda du sommet annuel, puis mettre en œuvre les initiatives prises lors du sommet.

D'abord G5 de façon informelle, puis provisoirement G6 (« Groupe des six ») lors de sa création en 1975, et rapidement devenu G7 (« Groupe des sept ») avec l'intégration du Canada en 1976, le groupe s'est élargi à la Russie en 1998 pour devenir le G8. Au XXIe siècle, plusieurs membres du G8 plaident pour un élargissement du groupe pour inclure les « cinq (en) », c'est-à-dire les principaux pays émergents : Chine, Inde, Afrique du Sud, Brésil et Mexique. Invités jusqu'ici au cas par cas, ils seront désormais associés aux grands débats du G8 sur les thèmes cruciaux comme le climat. Leurs points de vue seront pris en compte par les « sherpas » qui préparent les sommets. Mais c'est à l'OCDE que le G8 laisse le soin d’assurer la liaison.

Ces rencontres sont contestées par des mouvements altermondialistes qui remettent en cause la légitimité du G8 et l'accusent de vouloir « diriger le monde », au mépris des autres pays, pour imposer une politique libérale. Cependant, ces sommets offrent une base à partir de laquelle il est possible de réfléchir à des interventions politiques concrètes.

G8


Le G20

Le Groupe des 20 (ou G20) est un groupe de 19 pays plus l'Union européenne dont les ministres, les chefs des banques centrales et les chefs d'États se réunissent régulièrement. Il a été créé en 1999, après la succession de crises financières dans les années 19901. Il vise à favoriser la concertation internationale, en intégrant le principe d'un dialogue élargi tenant compte du poids économique croissant pris par un certain nombre de pays.

Le G20 représente 85 % du commerce mondial, les deux tiers de la population mondiale et plus de 90 % du produit mondial brut (somme des PIB de tous les pays du monde).

Le 15 novembre 2008, pour la première fois de son histoire et à l'initiative de Nicolas Sarkozy et de Gordon Brown2, les chefs d'État ou de gouvernement se sont réunis. Actuellement, le G20 se décline sous trois formes : les G20 regroupant des chefs d'État et de gouvernement, les G20 finance regroupant les ministres des finances et les gouverneurs des banques centrales et, depuis les 20-21 avril 2010, des G20 sociaux, réunissant les ministres de l'emploi.

Critiques contre le G20
Les paradis fiscaux : une pratique inadmissible, pas réellement remise en cause par le G20
En réalité, le G20 fait l’impasse sur des questions importantes : notamment l’opacité financière et le poids des paradis fiscaux dans l’économie mondialisée. Les pays du G20 avaient décrété en 2009 le démantèlement des paradis fiscaux. Mais ils ne se sont pas donné les moyens de le faire. Les entreprises multinationales profitent de la discrétion offerte par les paradis fiscaux pour y localiser fictivement les profits qu’elles génèrent. Les pratiques d’évasion fiscale se sont banalisées. Toutes les entreprises et banques françaises du CAC 40 sont implantées dans les paradis fiscaux et plus de 20% des filiales des 50 plus grandes entreprises européennes se situent dans des territoires dits « opaques ». Ces manipulations coûtent cher aux pays riches, mais ce sont bien les pays pauvres qui en sont les premières victimes. Les multinationales exploitent leurs ressources mais y déclarent rarement leurs profits, et donc la plupart du temps n’y paient pas leurs impôts. Ce pillage prive chaque année les budgets des Etats des pays en développement de 125 milliards d’euros. Autant d’argent qui ne sera pas investi dans la lutte contre la faim, l’éducation, ou les infrastructures. Le recours aux paradis fiscaux aboutit à des statistiques aberrantes : ainsi 70% des investissements étrangers en Chine proviennent de cinq petits paradis fiscaux ; l’Ile Maurice est le premier investisseur en Inde ; les Iles vierges britanniques comptent 34 entreprises par habitant quand l’Allemagne en compte seulement 0,02 ; l’île anglo-normande de Jersey est le premier exportateur de bananes en Europe !

Les contestations contre le G20
La contestation contre les G20 de 2009 et 2010
En 2009, des milliers de personnes ont manifesté à Londres, notamment aux abords de la Banque d’Angleterre, pour s’opposer au G20. La police anti-émeutes a arrêté une vingtaine de personnes. Dans la foule des manifestants, des anarchistes, des chômeurs, des écologistes, des pacifistes… En 2010, environ 2.000 manifestants ont défilé à Toronto (Canada), pour que les G8 et G20 prennent davantage en compte les droits de l'homme. L’ambiance était tendue, du fait de la présence de nombreux policiers. La police a réagi durement à ces manifestations, plus de 1000 personnes ont été arrêtées, il y a eu des violations des libertés.

La contestation contre le G20 de 2011
La mobilisation s’organise autour de deux pôles. Un pôle large est organisé autour du CRID (association d’aide au développement) et d’ATTAC, rassemblant de très nombreuses associations altermondialistes ou humanitaires, mais aussi des syndicats (Solidaires, FSU, CGT), et des organisations politiques en soutien. Ce pôle, qui a créé le site « Altermob », prévoit de grandes manifestations à l’occasion du G8 et d’un « ?sommet des peuples? ». Lors du forum social mondial de Dakar en février 2011 a été adopté « l’appel de Dakar à la mobilisation face aux G8 et G20 ». Il affirme : « Le G20 est constitué de 20 pays parmi les plus riches au mépris de tous les autres. Il s’est autoproclamé garant de la stabilité économique et financière mondiale au lendemain de la tempête financière de 2008, mais n’a en rien protégé les peuples de cette grande crise. Au contraire, il a maintenu la dictature de la finance qui déploie son emprise sur tous les aspects de notre existence : logement, travail, éducation, agriculture, climat, retraites, connaissance, biodiversité... Par son action, il renforce les acteurs et les mécanismes à l’origine de ces crises, tout en faisant payer la note aux citoyens. » Un pôle plus radical se constitue autour de « Dissent » (réseau de contestation des institutions internationales). Observant que les contre-sommets se heurtent de plus en plus à la répression policière, ce réseau estime qu’il est plus pertinent d’organiser des rencontres loin des lieux des sommets. Il envisage donc l’organisation d’un village alternatif pendant plusieurs semaines au cours de l’été. Enfin, SUD-Etudiant s’efforce de son côté de mobiliser les organisations de jeunesse dans la perspective d’un contre-sommet lors du G8 des universités de début mai à Dijon.


l'O.T.A.N. (ou N.A.T.O en anglais)

L’Organisation du traité de l’Atlantique Nord ou Otan (en anglais : North Atlantic Treaty Organization ou NATO), parfois connue sous le nom d’Alliance Atlantique, est une organisation politico-militaire qui rassemble de nombreux pays occidentaux. Elle a vu le jour le 4 avril 1949, suite à des négociations des cinq pays européens signataires du traité de Bruxelles (Belgique, France, Luxembourg, Pays-Bas et Royaume-Uni) avec les États-Unis, le Canada et cinq autres pays d’Europe occidentale invités à participer (Danemark, Italie, Islande, Norvège et Portugal). L'Alliance avait pour vocation initiale d'assurer la sécurité de l'Occident au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, en prévenant d'éventuels soubresauts d'impérialisme allemand et en luttant contre les ambitions de conquête de l'Union Soviétique appuyée par ses satellites (militairement organisé dans le cadre du Pacte de Varsovie).

OTAN

 

 

 

 

Tete2mort Le monde est une machine en marche pilotée par une élite mafieuse qui fera tout pour rester au pouvoir et continuer à façonner et piller la planète à sa guise, pour les intérêts d'une minorité au détriment d'une large majorité. L'illusion de la démocratie en occident sert à faire taire les peuples, mais peu à peu s'installe un système de plus en plus autoritaire où le maitre mot reste le profit.

Le manque de coordination ainsi qu'une dissension au sein des forces d'opposition de tous engagements confondus empêchent une riposte légitime et nécessaire. Au lieu de nous rassembler autour de nos points communs, il semble que les gens préfèrent se tirer dans les pattes sur leurs différences.

Continuer à fermer les yeux sur les desseins d'une minorité en rejetant l'idée d'une forme d'entente secrète non démocratique relève de la bêtise. A l'inverse, croire aveuglément à tout et n'importe quoi sur des thèses conspirationnistes est peut-être une faiblesse; Mais s'informer sur la multitude d'informations disponibles ne peut être considéré comme inutile. L'inutilité est bien asser présente dans le modèle fasciste de société qu'on tente de nous imposer partout dans le monde.

Poing Réveillons-nous / Informons-nous / Retrouvons-nous Poing
Un Autre Monde Est Possible

 

« Nul n'est plus désespérément esclave que ceux
faussement convaincus d'être libres »

Thomas Paine (1737–1809) 


« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est,
pour le peuple et pour chaque portion du peuple,
le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs »

(art. 35 de la Declaration des Droits de l'Homme - 1793)


« La vraie démocratie ne viendra pas de la prise de pouvoir par quelques uns, mais du pouvoir que tous auront de s'opposer aux abus de pouvoir »  M.Gandhi


Soyez surtout capables de ressentir, au plus profond de vous-mêmes, toute injustice commise contre quiconque en quelque partie du monde. C’est la plus belle vertu d’un révolutionnaire" Le Ché


« En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire » Gorges Orwell »
(art. 35 de la Declaration des Droits de l'Homme - 1793)

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