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=NOURRITURE & OGM=
ATTENTION DANGERS

 

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Qu'est ce que le "CODEX ALIMENTARIUS" ?
LES OGM ?

Nous n'avons pas assez de recul pour connaitre les effets des OGM sur notre corps.
Mais ils sont en vente et gagnent toujours plus de terrain.


Voyons d'un peu plus près le contenu de nos assiettes
Assiette

 

CODEX ALIMENTARIUS


Warning

D’après le programme pré-établi par la FAO (organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture) et l’OMS (organisation mondiale de la Santé), le Codex Alimentarius est entré en vigueur le 31 décembre 2009 dans toute l’Union européenne.

Créé en 1963, il est mis en œuvre grâce à une commission non-élue désignée par l’ONU.
Ce qui se voudrait banal et sécurisant, est en fait un monstrueux outil à briser un peu plus nos libertés. Celle de se nourrir, celle de se soigner ou tout simplement celle de rester en bonne santé.

Historiquement et selon certaines sources, il existe la preuve de liens unissant l’hégémonique empire Rockefeller à des industries pharmaco-chimiques et agro-alimentaires comme BASF ou BAYER qui sont, en fait, les descendants de la firme IG FARBEN, fleuron de l’entreprise nazie.

Voyons ce qu’il en est actuellement :

BASF est le premier fabricant mondial de produits chimiques, grand spécialiste de matières plastiques en tous genres mais sentant le vent tourné, propose maintenant des éoliennes et des panneaux solaires. C’est aussi le deuxième fabricant mondial de vitamines qui vient d’obtenir récemment et pour la première fois, l’autorisation de mise sur le marché d’une patate transgénique « Amflora » introduite dans l’alimentation animale.
BAYER (fournisseur patenté du zyclonB durant la dernière guerre mondiale) est le troisième fabricant d’engrais dans le monde et le premier fabricant de médicaments en Allemagne.

A terme, quand le codex alimentarius entrera en application, sur simples décrets puis durcissement progressif des normes, tous les suppléments alimentaires, toutes les herbes médicinales, toutes les vitamines et minéraux, tous les remèdes homéopathiques, tous les acides aminés et autres remèdes naturels auront disparus des libres rayons pour n’être délivrés que sur prescriptions médicales, assurant un complet monopole aux laboratoires pharmaceutiques. C’est déjà le cas dans des pays comme la Norvège et l’Allemagne où ces produits sont sous-dosés et hors de prix.

Une autre application du codex imposera l’irradiation de la totalité des fruits et légumes ainsi que des viandes et la chloration de la totalité des produits de la mer. Tout ceci au nom de la sécurité alimentaire, on dénature les denrées en leur faisant perdre une grosse partie de leurs qualités nutritives, avec comme conséquence une mauvaise santé générale de la population et une addiction toujours plus fortes aux médicaments. La boucle est bouclée, y’a plus qu’à passer à la caisse !

L’heure est grave et il est grand temps de réagir, les élites savent qu’affronter la vindicte populaire comporte grand nombre de risques. Montrons leur que sur ce point, ils n’ont pas tord !

Prochaine réunion de la commission du Codex : Centre international de Conférence BERCY à Paris, du 12 au 16 avril 2010.

(Paru dans la Gazette des Insoumis n°4)


 
ManifCodex
 
 
Codex
 

 

 

Skull



OGM ?

 

OGM: l’étude russe qui pourrait déraciner une industrie
 
OGMOGM
OGM
OGM
 
Les OGM, c'est quoi ? (complet)
1:25:57
Conférence de Christian Velot, Maître de conférence en génétique moléculaire (Univ Paris-Sud XI), chercheur a l'institut de génétique et de microbiologie (centre scientifique d'Orsay). Dans cette conference donnee a Toulouse en 2005, il donne une explication scientifique très pédagogique de ce que sont les OGM. Cette video est en ligne car son auteur encourage sa propagation, mais elle fait par ailleurs partie d'un DVD qui coûte 10 euros et dont les recettes servent a soutenir le mouvement des faucheurs volontaires. Vous pouvez le commander sur le site de la Confédération Paysanne.
 
OGM

 

Faucheurs

- Le site officiel est sur www.ogm.gouv.fr ; on y trouve entre autres la liste des essais implantés - du moins jusqu’en 2005 : en 2006, la liste n’a pas été publiée !!! vous avez dit transparence ???.
- Les demandes de dissémination volontaire en Europe : http://gmoinfo.jrc.it/gmp_browse_ge... (en anglais)
- Le site de la veille citoyenne sur les OGM : http://www.infogm.org/
- Incontournable : www.detectivesOGM.org (Greenpeace), contenant notamment une liste de produits contaminés, un guide des produits avec et sans ogm et des informations pour agir chacun à notre niveau (par exemple en devenant détective OGM).
- un blog sur les OGM : http://www.ogmpda.com/forum/
- Le site www.grainvert.com.
- www.troisdsg.fr.st : site de soutien aux 3 inculpés de Saint-Georges.
- http://www.lesdixdavelin.free.fr : le site du Comité de Soutien aux Onze d’Avelin (les 10 initiaux sont devenus 11 en juin 2004)
- http://www.9deguyancourt.tk : le site du comité de soutien aux neuf de Guyancourt
- http://www.soutienfaucheurspithivie... : le site du comité de soutien aux faucheurs de Pithiviers
- http://fauchnonette.free.fr : le site du comité de soutien aux faucheurs de Nonette
- http://alerte-ogm.fr/ : le site du collectif Alerte OGM
- http://www.moratoireogm.fr : le site de l’Appel d’Orléans pour un moratoire sur les OGM
- http://grevedelafaim-moratoire-ogm.org/ : le site de la grève de la faim pour un moratoire sur les ogm (janvier 2008)
- http://web.mac.com/chardard.ph/iWeb... : le site des 58 de Poinville – ou de Chartres (2008)
- un site regroupant des liens sur les crimes de Monsanto : Monsanto
- 2 articles intéressants sur les ogm : Les OGM : Modifiez génétiquement votre avis ... Premier volet et Les OGM : Modifiez génétiquement votre avis ... IIème volet
- campagne Prudence OGM (Suisse)

-  pourquoi les faucheurs : Désobéissance civique... face aux OGM : la charte des Faucheurs Volontaires
- Comment rejoindre les Faucheurs Volontaires

pour contacter le Collectif des faucheurs volontaires :
- par courriel : faucheurs.ogm@laposte.net
- par courrier : 4 place Lucien Grégoire 12100 Millau
- par téléphone : 05 65 59 14 36

pour soutenir les faucheurs : association Sans Gène (voir Appel à soutien financier pour les faucheurs volontaires condamnés) :
Sans Gène, CASC, 10 bis rue du Colonel-Driant, 31400 Toulouse
site : http://sans-gene.org
secrétariat : info@sans-gene.org

 

 

 

FILMS
 
Monsanto
Ce film retrace l’histoire de Monsanto, une multinationale américaine, aujourd’hui leader mondial des OGM, et considérée comme l’un des plus grands pollueurs de l’ère industrielle (PCB, agent orange, hormones de croissance, roundup...). Après une enquête de trois ans, en Amérique du nord et du sud, en Europe et en Asie, il reconstitue la genèse d’un empire industriel, qui, à grand renfort de rapports mensongers, de collusion avec l’administration nord-américaine, de pressions et tentatives de corruption, est devenu l’un des premiers semenciers de la planète. En s’appuyant sur des documents et des témoignages inédits de scientifiques, victimes de ses activités toxiques, avocats, hommes politiques et de représentants de la Food and Drug Administration ou de l’Environmental Protection Agency des Etats Unis, le documentaire montre comment, derrière l’image d’une société propre et verte décrit par la propagande publicitaire, se cache un projet hégémonique menaçant la sécurité alimentaire du monde, mais aussi l’équilibre écologique de la planète. Un doc à ne manquer sous aucun prétexte.

Genre : documentaire journalistique
Durée : 1 heure 50 mn
Réalisation/ Scénario : Marie-Monique Robin

Implantée dans quarante-six pays, Monsanto est devenue le leader mondial des OGM, mais aussi l’une des entreprises les plus controversées de l’histoire industrielle. Depuis sa création en 1901, la firme a accumulé des procès en raison de la toxicité de ses produits, mais se présente aujourd’hui comme une entreprise des « sciences de la vie » convertie aux vertus du développement durable.

A partir de documents inédits, de témoignages de victimes, de scientifiques et d’hommes politiques, « Le monde selon Monsanto » reconstitue la genèse d’un empire industriel qui à grand renfort de mensonges, de collusion avec l’administration américaine, de pressions et de tentatives de corruption est devenu le premier semencier du monde, permettant l’extension planétaire des cultures OGM sans aucun contrôle sérieux de leurs effets sur la nature et la santé humaine !

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Monsanto
monsnto
 
 

David contre Monsanto

Imaginez qu'une tempête balaie votre jardin et qu'à votre insu et sans votre consentment des graines étrangéres génétiquement modifiées s'introduisent dans le potager que vous choyez depuis des années. Quelques jours après les représentants d'une multinationale frappent à votre porte, réclament tous vos légumes et portent plainte contre vous pour utilisation illégale de semances patentées en exigeant le paiement d'une amende de 20'000 euro.
Et le tribunal donne en plus raison à la multinationale.
Mais vous résistez...
Cette anecdote n'a malheureusement rien de fictif. C'est une réalité amére, a l'échelle mondiale et en particulier pour les canadiens Percy et Louise Schmeiser, détenteurs du Prix Nobel alternatif, qui se battent depuis 1996 contre le chimiste et fabricant de graines Monsanto. Environ trois quart récoltes mondiales de plantes génétiquement modifiées sont issues des laboratoires Monsanto, une multinationale américaine à laquelle on doit les tristes inventions du DDT, du PCB et de l'agent orange. Monsanto ne recule devant rien pour contrôler la chaîne de production allant des champs jusqu'à l'assitte du consumateur. C'est ce qu'ont vécu les agriculteurs Troy Rush, David Runyon et Marc Loiselle ainsi que milliers d'autres paysans dans le monde.

Ceux-ci ne luttent pas que contre Monsanto pour survivre en tant que paysans mais également pour pour la liberté d'expression et le droit de propriété.

Pourtant c'est surtout l'avenir de leurs enfants et petits-enfants qu'ils se sont engagés, pour que ces derniers puissent grandir dans le monde exempt de nourriture génétiquement modifiée.

Ce film est porteur d'espoir: Pour tous les individus qui craignent de ne pas faire le poids face au monde de la politique, de la finance et aux multinationales. "David contre Monsanto" nous prouve le contraire.

 
 
 
 
 
Notre poison
Après «Le monde selon Monsanto», la journaliste Marie-Monique Robin présente un film sur les produits chimiques présents dans nos aliments…
Elle n’hésite pas à utiliser le mot «poison» pour désigner les multiples conservateurs, colorants, anti-oxydants, résidus de pesticides et autres produits chimiques qui traînent dans nos assiettes. Le nouveau reportage de Marie-Monique Robin, journaliste et réalisatrice en 2008 du documentaire Le monde selon Monsanto, sera diffusé sur Arte le 15 mars 2011. Pour Notre poison quotidien, elle a enquêté sur les substances chimiques présentes dans l’alimentation. Sont-elles responsables des maladies qui frappent les pays développés (cancers, diabète, obésité, maladies neuro-dégénératives,…)? La réglementation protège-t-elle efficacement les consommateurs?
 
 
 

Des effets collatéraux au nom du progrès
De la Mutualité sociale agricole (MSA) à l’OMS (Organisation mondiale de la santé), Marie-Monique Robin a recueilli les témoignages de tous les experts impliqués dans le système de règlementation, la recherche ou l’utilisation des produits chimiques. Et les a mis face à leurs contradictions: les décisions de l’OMS basées sur des études confidentielles fournies par les industriels, l’Efsa (Autorité européenne de sécurité des aliments) qui emploie des experts également salariés dans des entreprises utilisant des produits chimiques, les listes de produits cancérigènes du Circ (Centre international de recherche sur le cancer) qui ne correspondent pas aux conclusions de certains de leurs rapports…

«La littérature scientifique est polluée par des études faites sur mesure pour l’industrie», dénonce Marie-Monique Robin. Et lorsque les autorités, Efsa ou OMS, tentent de fixer des limites de consommation des produits chimiques, « doses journalières admissibles » ou «limites maximales de résidus», la complexité de la tâche les transforme en «acrobates des limites»: «Nous sommes dans une société du risque où nous acceptons des effets collatéraux au nom du progrès», analyse Marie-Monique Robin.

Un effet cocktail encore mal connu
Si «la dose fait le poison», il semble qu’aujourd’hui nous ne sachions même plus quelle dose nous ingérons réellement. Les réglementateurs « font de leur mieux », comme l’avoue une experte de la FAO (organisation pour l’agriculture et l’alimentation des Nations unies) mais les controverses autour du Bisphénol A ou de l’aspartame prouvent que leurs effets sur la santé humaine sont encore mal connus ou minimisés. L’«effet cocktail» des centaines de substances mélangées dans l’alimentation est encore plus flou.

Alors que l’OMS a qualifié d’«épidémie» l’augmentation du nombre de cancers dans les pays développés depuis une trentaine d’années, Marie-Monique Robin veut démontrer qu’il n’est plus possible aujourd’hui de dire que les produits chimiques présents dans l’alimentation n’y sont pas liés. En prenant notamment pour preuve les agriculteurs, victimes «à la source» des produits phytosanitaires, qui sont de plus en plus nombreux à affirmer que les cancers ou les maladies neuro-dégénératives dont ils sont victimes sont causées par les pesticides.

( > Source)

Une enquête de Marie-Monique Robin
Une coproduction d’Arte France et INA
France / 2010
Genre : Documentaire
Durée : 113 minutes

 
 
 
 
 
 
 
Je mange donc je suis
 

« Comment comprendre que la majorité des personnes qui sont censées nourrir l’humanité, souffrent d’une situation catastrophique, marquée par le chômage, la pauvreté, l’exode et la faim ? »

870 millions d’affamés dans le monde (aujourd’hui plus d’une milliard)

Ce chiffre nous saute aux yeux depuis les émeutes de la faim de 2008. Dans tous les grands colloques internationaux, une question se pose à présent : « Qui va nourrir le monde ? »

Et si la question était mal choisie ?
Car les agriculteurs sont capables de nourrir l’ensemble de la population mondiale.

En partant du quotidien des agriculteurs belges, le film commence un tour du monde agricole et alimentaire afin de comprendre quels sont les problèmes communs aussi bien en Europe qu’en Afrique ou au Brésil.

On prend rapidement conscience que tout est lié et que chacun a son rôle à jouer dans la résolution du problème, qu’il soit politique, environnemental ou commercial.

« Je mange donc je suis » tente de démontrer qu’un projet de société solidaire, durable et démocratique est plus que nécessaire.

La souveraineté alimentaire, ce droit revendiqué par des milliers de mouvements sociaux à travers la planète, définie comme le droit des populations de choisir leur agriculture et leur alimentation sans que celles-ci ne portent préjudice aux droits des autres peuples, s’impose d’elle même.


Un film de Vincent Bruno
Une production (2009) de Demande à la poussière (dalp.org) et de la Coalition contre la faim (Belgique).

Langue : français | Durée : 26 minutes.

 

plantogm

 

 

De la Drogue dans nos Assietes

 

 

 

MICRO-ONDES
CE FOUR QUE BEAUCOUP UTILISENT

four micro-ondesD’après de nombreuses études scientifiques, les aliments passés aux micro-ondes subissent des modifications biochimiques subtiles mais importantes, pouvant par la suite compromettre la santé de ceux qui les consomment.

Des chercheurs autrichiens du Département de Pédiatrie de l’Université de Vienne (Autriche) ont réalisé une étude publiée par le très sérieux journal médical The Lancet.

Cette équipe de chercheurs a analysé des échantillons de lait chauffés aux micro-ondes. Il est apparu que certaines protéines avaient subi une modification inhabituelle. Les acides aminés de forme L. (Lévogyres) s’étaient transformés en une forme inassimilable, neurotoxique et donc dangereuse pour l’organisme, la forme D. (Dextrogyre), qui est celle de la proline et de l’hydroxyproline.

Les enzymes de l’organisme ne reconnaissant pas cette nouvelle forme d’acides aminés, ne peuvent les métaboliser, ce qui les rend toxiques. D’autres chercheurs autrichiens (Lubec, Wolf et Bartosch) ont pu observer une nocivité de ces acides aminés ainsi transformés au niveau des reins et du foie. De plus, les aliments passés aux micro-ondes sont appauvris en vitamines hydrosolubles du groupe B et C, entre autres. Le principe de précaution devrait donc s’appliquer ici, surtout lorsqu’il s’agit de biberons destinés à de très jeunes enfants. De nombreuses études démontrent qu’une carence en acides gras oméga 3, et plus particulièrement en acide docosahexaénoïque ou DHA (désagrégé par les micro-ondes), freine le développement des capacités intellectuelles et de l’acuité visuelle de l’enfant. Une expérience a été conduite par le professeur de cancérologie, Henri Joyeux, sur les aliments chauffés aux micro-ondes. Trois lots de souris ont été nourris avec les mêmes aliments préparés de façon différente :

• pour le premier lot, chauffage au four à micro-ondes ;

• pour le second lot, cuisson à la cocotte minute ;

• pour le troisième lot, état cru ou cuisson à la vapeur douce.

Les souris du premier lot ont refusé la nourriture pendant plusieurs jours, puis poussées par la faim, ont fini par manger. Des cellules cancérigènes ont alors été inoculées à tous les rongeurs. Le pourcentage d’animaux développant le cancer a été de 100 % pour le premier lot, 50 % pour le second lot et 0 % pour le troisième lot. Une autre recherche conduite par Hans U. Hertel (recherche et conseil en biologie environnementale, Wattenwil) a consisté à soumettre pendant deux mois une série de volontaires à un régime strict, fait d’aliments préparés de manière traditionnelle pour une part, et cuits sous micro-ondes pour l’autre part. Il s’agissait de lait et de légumes (carottes et fenouil). Une seule des huit variantes alimentaires était administrée par jour. Les variantes consistaient en : 1. du lait cru provenant d’un agrobiologiste ; 2. le même lait cuit de manière traditionnelle ; 3. du lait pasteurisé provenant de la société Intermilch de Berne ; 4. du lait agrobiologique cuit sous micro-ondes ; 5. un légume cru de culture biologique ; 6. le même légume, cuit de manière traditionnelle ; 7. le même légume, congelé puis décongelé sous micro-ondes ; 8. le même légume, cuit sous micro-ondes. Les volontaires étaient soumis à des prises de sang quotidiennes qui intervenaient, la première à jeun, tôt le matin, la deuxième quinze minutes après la première nourriture et la troisième deux heures plus tard. L’analyse portait sur dix facteurs de la formule sanguine, considérés comme déterminants dans l’appréciation de l’état de santé. Les aliments traités sous micro-ondes ont provoqué dans le sang des volontaires des modifications significatives telles que la diminution des valeurs hémoglobiniques, et l’augmentation de l’hématocrite, des leucocytes et des valeurs du cholestérol, en particulier de ses formes HDL et LDL. En ce qui concerne les lymphocytes, leur diminution était plus rapide et plus marquée chaque fois que l’aliment absorbé était un légume préparé sous micro-ondes. Selon les auteurs de cette expérience, de telles modifications de la formule sanguine semblent indiquer le stade initial d’un processus pathologique tel qu’il se présente dans une phase cancéreuse. L’expérience n’ayant porté que sur deux mois, on peut légitimement s’interroger sur les effets à plus long terme. De plus, les aliments sortis du four à micro-ondes rayonnent encore pendant environ dix à quinze minutes. Pour le vérifier, les chercheurs ont appliqué une méthode connue de bioluminescence des bactéries qui permet de mesurer le degré de stimulation ou d’inhibition des bactéries dans le sang. Les résultats montrent à l’évidence que les aliments irradiés, irradient à leur tour et que cette influence prolongée sur le sang doit être prise au sérieux, car il s’agit d’une irradiation directe dont on ne connaît que trop les conséquences.

La littérature scientifique sur les atteintes aux organismes vivants par le rayonnement direct des micro-ondes est d’ailleurs particulièrement abondante. Les effets pervers des micro-ondes vont de la destruction de la membrane cellulaire à l’hémolyse (destruction des globules rouges), à la leucémie et au blocage des cycles naturels. Une étude faite outre-Manche démontre que les bactéries comme la listéria ou la salmonelle ne sont pas détruites après chauffage aux micro-ondes. Lorsqu’un aliment est soumis aux micro-ondes, il gonfle, mais moins sous l’influence de l’oxydation que de la friction, et moins en raison de l’eau que des énormes quantités d’énergie du rayonnement que les cellules doivent soudain absorber et qui les contraignent à se diviser, ou plutôt à éclater. Un oeuf, de poule, par exemple, est une sorte de « super-cellule ». Lorsqu’il est exposé au rayonnement d’un four à micro-ondes, il éclate, c’est-à dire qu’il se désintègre en explosant sous l’effet de l’absorption soudaine d’énergie ! Et c’est exactement ce qui se produit au fond avec n’importe quelle autre cellule, qu’elle soit de viande ou de légume. L’absorption d’énergie est trop rapide, trop importante et de surcroît destructrice. Par exemple, les molécules de protéines se brisent, prennent des formes et des structures contre nature et se transforment en particules qui n’ont, tout au moins sur le plan qualitatif, plus rien à voir avec la molécule de départ, et qui laissent apparaître des substances toxiques. En plus de l’effet thermique des micro-ondes, il existe aussi un effet athermique. Selon René d’Ombresson, sous l’influence de ces facteurs, les molécules sont éclatées, leurs structures déformées (isomérisation) et leurs fonctions naturelles détournées. Ces effets sont connus puisqu’ils sont utilisés en technique génétique pour accéder aux gènes, les cellules étant mises à nu et la tension énergétique (osmotique) entre l’intérieur et l’extérieur étant levée. Une cellule ainsi fragilisée, devient rapidement la proie facile des virus et des mycètes. Si la contrainte se poursuit sous l’influence des micro-ondes, le mécanisme réparateur se démobilise et la cellule, en péril énergétique, passe en respiration anaérobie (sans présence d’oxygène). Apparaissent alors différents poisons cellulaires analogues à ceux observés dans les cellules cancéreuses. En effet, contrairement à une cellule normale qui vit par oxydation, la cellule cancéreuse vit par fermentation anaérobie. Alors que la cellule saine transforme le glucose en gaz carbonique et en eau, la cellule cancéreuse le transforme en acide lactique. Lorsqu’un aliment a été chauffé aux micro-ondes et qu’on l’analyse ensuite par les méthodes de la chimie traditionnelle, on constatera la présence de protéines, de graisses, d’hydrates de carbone, de vitamines, etc. comme dans n’importe quel autre aliment. On pourra en conclure que cette méthode de cuisson a respecté l’intégrité des produits alimentaires.

Ce jugement est peut-être exact sur le plan quantitatif, mais il souffre du manque d’observation sur le plan qualitatif. En effet, bien que présents, ces nutriments ont subi des transformations profondes et ils ne pourront plus prétendre réellement assurer le fonctionnement normal de l’organisme. C’est un peu comme si, voulant apprécier votre patrimoine, vous comptiez le nombre de voitures que vous possédez, sans faire la différence entre les voitures en bon état prêtes à rouler et les épaves bonnes pour la casse.

Eric Darche Naturopathe Spécialisé en Nutrition. Auteur, Conférencier, Formateur.

Effets néfastes du micro ondes


four micro-ondesLES EFFETS NEFASTES DES FOURS A MICRO ONDES SUR NOTRE SANTE

  1. les fuites
  2. les aliments dénaturés
  3. Rémanence des ondes

>> LIEN

 

 

Des ONG dénoncent l'utilisation du mercure dentaire, un "poison" dans la bouche des Français


LEMONDE.FR avec AFP | 27.10.11 | 20h56
Alors qu'une nouvelle séance de négociations internationales sur le mercure doit avoir lieu sous l'égide de l'ONU, du 31 octobre au 4 novembre, plusieurs associations française ont lancé un cri d'alarme, jeudi 27 octobre, estimant que l'utilisation du mercure dentaire est toujours préoccupante en France. Pour ces organisations non gouvernementales – Non au mercure dentaire, le Réseau environnement santé (RES), l'Association toxicologie-chimie – le mercure dentaire, utilisé dans 70 % des amalgames de molaire ou de prémolaire en France – est purement et simplement "un poison".

Les ONG ont calculé que les amalgames dentaires que les dentistes utilisent pour obturer les caries contiennent 50 % de mercure et concluent que chaque année on met ainsi "plus de 17 tonnes de mercure dans la bouche des Français". Elles parlent d'un "nouvel exemple de dysfonctionnement de la sécurité sanitaire", alors que "des centaines d'études scientifiques" incriminent le mercure dentaire, ajoute Marie Grosman, du collectif Non au mercure dentaire.

Elle dénonce la position "isolée et incohérente", qui tout en travaillant pour la réduction de l'exposition au mercure de la population de 30 % d'ici 2013, reste, selon elle, le "seul pays qui s'est officiellement opposé à l'arrêt des amalgames dans l'Union européenne". En effet, le Conseil de l'Europe a adopté en mai une résolution invitant à "la restriction, voire l'interdiction des amalgames comme matériaux d'obturation dentaire". La Norvège, la Suède et le Danemark ont carrément interdit l'amalgame dentaire.

"JAMAIS EU DE PREUVE SCIENTIFIQUE QUE C'EST DANGEREUX"

Pour le toxicochimiste André Picot, le mercure est "un CMR (cancérogène, mutagène et reprotoxique)", qui est toxique aussi pour les systèmes nerveux, immunitaire et hormonal". Il est "impossible de définir une dose d'exposition sans danger" pour la population fragile, comme les femmes enceintes et les enfants, ajoute-t-il.  L'Organisation mondiale de la santé (OMS) suggère l'utilisation de matériaux alternatifs. Selon les associations, les produits de remplacement, à base de verre dit "ionomère", ont "fait leurs preuves" : ils permettent d'enlever moins de dent, sont aussi bien remboursés que les amalgames, pour une longévité "au moins identique".

Roland L'Herron, président de la Confédération nationale des syndicats dentaires, affirme pour sa part qu'il n'y a jamais eu de preuve scientifique que c'est dangereux pour la santé". A ses yeux, les mises en garde et interdiction n'existent que pour des raisons environnementales, pour éviter les rejets de mercure, très polluants. En outre, la demande est moins forte, "pour des raisons esthétiques", ajoute-t-il. Quant aux produits de remplacement, ils estiment qu'ils sont "moins résistants à l'abrasion et très sensibles à l'humidité". Marie Grosman demande la fin des amalgames dentaires, mais "très progressivement et de façon très précautionneuse", car une dépose hâtive peut "faire courir de grands risques". Un point sur lequel les dentistes sont d'accord. (source)

VOIR AUSSI:

 

COKA KOLA

"Coca-Cola supprime un de ses ingrédients jugé cancérigène"

par Laura Béheulière, Lundi 12 mars 2012 (source)

NI COCA NICOLAS En France, aucun changement de recette n’est à l’ordre du jour. Coca-Cola va changer sa recette aux Etats-Unis afin de remplacer le colorant caramel, jugé cancérigène par une association américaine.

Il donne au plus célèbre des sodas sa couleur si particulière. Pourtant, Coca-Cola est contraint de modifier sa recette afin de supprimer de la liste des ingrédients le colorant caramel contenant le 4-méthylimidazole (4-MEI), également présent dans le Pepsi et dans d’autres breuvages. Le 4-MEI est un cancérigène reconnu chez les animaux, mais dont la toxicité pour l’Homme n’est pour l’heure pas avérée. C’est une association américaine de consommateurs, le Center for Science in the Public Interest (CSPI), qui a donné l’alerte et exigé d’abaisser la dose journalière à 29 microgrammes. Or, d’après le CSPI, une canette américaine de 35 centilitres contiendrait de 142 à 146 microgrammes de 4-MEI, celle de Coca-Cola Light de 103 à 113, et une canette de Pepsientre 145 et 153.

Alors contraint d’apposer un message d’avertissement très peu vendeur sur ses bouteilles mettant en garde contre la présence d’un composé cancérigène, Coca-Cola a préféré changer sa recette pour éviter la polémique et rassurer les consommateurs. Le géant américain réfute cependant tout danger venant de ses produits, et sa décision fait débat dans la communauté scientifique américaine. D’après la Food and Drug Administration (FDA), il faudrait en effet consommer 1 000 canettes de soda par jour pour encourir le risque d’un cancer.

80 000 microgrammes par canette en Europe

Mais c’est également l’appellation « colorant caramel » qui est dénoncée par le CSPI. « Pour la plupart des gens, cette dénomination signifie “coloré avec du caramel“, mais cet ingrédient a peu en commun avec du caramel ordinaire ou des bonbons au caramel. C’est un mélange concentré de produits chimiques qui n’apparaît pas dans la nature », a expliqué le directeur exécutif du CSPI Michael Jacobson dans un communiqué de presse.

D’après Le Parisien, la question d’une telle modification ne se poserait pas pour le moment en Europe, en raison d’une directive de 2008 établissant la limite légale à 250 milligrammes de 4-MEI par kilogramme (soit plus de 80 000 microgrammes par canette). Un changement de recette n’est donc pas à l’ordre du jour sur le Vieux continent. De toute façon, Coca-Cola se veut rassurant : la couleur et le goût du célèbre soda ne seront en aucun cas modifiés.

VOIR AUSSI: Colorant cancérigène : Coca-Cola obligé de modifier sa recette (LeMonde.fr)

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Pour notre information :

Le principe actif du Coca Cola est l'acide phosphorique.
Son PH est 2.8 et dissout un ongle en 4 jours environ.
L'acide phosphorique en outre vole le calcium des os et est la principale cause d'augmentation de l'ostéoporose.
Il y a quelques année une étude fut réalisée en Allemagne pour connaître les raisons d'apparition de l'ostéoporose chez des enfants de 10 ans (pré - adolescents). Résultat : excès de Coca Cola, à cause du manque de contrôle des parents.
Les camions qui transportent le Coca Cola sont identifiés avec une étiquette MATÉRIEL DANGEREUX.
Les distributeurs de Coca Cola l'utilisent pour nettoyer les moteurs de leurs camions de plus de 20 ans.
Encore un détail : le Coca Cola light est considéré par les médecins et les chercheurs encore plus comme une bombe à retardement à cause du mélange Coca + Aspartame, suspecté d'être la cause du Lupus(beurk ) et des dégénérations du système nerveux.
Et pour finir, il est conseillé de ne jamais se laver les dents après avoir bu du Coca Cola parce qu'il enlève tout l'émail, et il l'enlève pour toujours !

Source: Etude pasteur (plus détaillée ici)
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VOIR AUSSI
"L'AFFAIRE COCA COLA"

 

 

Natural News, Mike Adams, 17 octobre 2010

" Il est toujours amusant qu’un grand média découvre un truc qu'il pense nouveau, alors même que la communauté Mc Do Jocondede la santé naturelle en parle depuis des années. Le New York Times, par exemple, a publié dernièrement un article intitulé Quand les remèdes créent les problèmes qu'ils sont censés prévenir. Depuis des années nous couvrons le même sujet, en signalant comment la chimiothérapie fourgue le cancer, les médicaments contre l'ostéoporose entraînent des fractures osseuses et les remèdes antidépresseurs donnent un comportement suicidaire.

      Dernière « nouvelle » découverte des grands médias, les hamburgers Happy Meal (~joyeuse barbaque) et les frites de McDonald ne pourrissent pas, même si vous les laisser de côté pendant six mois. Cet article a été repris par CNN, le Washington Post et de nombreux médias grand public, qui semblent surpris que la malbouffe des chaînes de fast food ne se décompose pas.

      Le plus rigolo, c’est qu’il y a déjà des années que les promoteurs de la santé naturelle couvrent ce sujet. La vidéo du hamburger bionique de Len Foley, ça vous dit quelque chose ? Diffusée en 2007, elle a finalement accumulé un énorme deux millions de visionnages sur YouTube. Et cette vidéo montre un type qui a acheté en 1989 des hamburgers McDonald qui ne sont toujours pas pourris en plus de vingt ans !

      Il a aujourd’hui un musée entier de hamburgers non-biodégradables dans son sous-sol.

      Les grands médias ont repris cette histoire ? Que dalle. Pas un mot. Cette histoire a été complètement ignorée. C'est seulement en 2010, au moment où un artiste a publié l’histoire d’un hamburger imputrescible de McDonald il y a six mois, que les chaînes d’informations ont démarré avec l'affaire.

      Cliquez sur le lien de la vidéo ci-dessus et vous verrez tout un musée de Big Macs et de hamburgers couvrant des années, aucun d’eux n’étant décomposé.

      C’est particulièrement intéressant parce que le tout dernier « Happy Meal Project, » qui suit un hamburger de six mois seulement, a attiré vraiment beaucoup de critiques de quelques personnes qui disent que les hamburgers se décomposeront si vous leur laissez suffisamment de temps. Ils ne connaissent manifestement pas le musée de ces hamburgers momifiés, qui ont fait tout ce chemin depuis 1989. Cette matière semble ne jamais se décomposer !

Pourquoi les hamburgers McDonald ne se décomposent-ils pas ?

      Tout d’abord, comment se fait-il donc que des hamburgers et des frites ne se dégradent pas ? La réponse spontanée serait, « Eh bien, ils doivent être faits de tant de trucs chimiques que même les moisissures ne les bouffent pas. » Bien que ça fasse partie de l’explication, ce n'est pas toute l'histoire.

      La vérité c’est que beaucoup d’aliments transformés ne se décomposent pas et ne sont pas consommés par les moisissures, les insectes, ni même par les rongeurs. Essayez de laisser un pot de margarine à l'extérieur dans votre cour et voyez si quelque chose se dérange pour le manger. Vous verrez que la margarine, elle aussi, semble immortelle !

      Les patates en chips peuvent durer des lustres. Les pizzas surgelées sont remarquablement résistantes à la décomposition. Et vous connaissez ces saucisses et viandes transformées de Noël, vendues à l’époque des Fêtes ? Vous pouvez les garder pendant des années sans que jamais elles ne pourrissent.

      Pour les viandes, la principale raison de leur inaltérabilité est dans leur haute teneur en sodium. Le sel est un très bon conservateur, connu des premiers hommes depuis des milliers d'années. Sans compter les produits chimiques que vous pourriez trouver dedans, les galettes de viande McDonald sont chargées à fond de sodium, si bien qu'elles sont considérées être des « conserves » de viande.

      Pour moi, ce n’est guère un grand mystère que la viande ne pourrisse pas. La vraie question dans mon esprit, c’est pourquoi le pain ne moisit pas ? C'est le fait qui gène le plus car le pain en bonne santé commence à moisir en quelques jours. Que peut-il vraiment y avoir dans le pain à hamburgers de McDonald, qui bloque la vie microscopique pendant plus de deux vingt ans ?

      Il s'avère que, à part si vous êtes chimiste, vous ne pouvez sans doute même pas lire la liste d’ingrédients à haute voix. Voici ce que le propre site de McDonald indique que vous pouvez trouver dans son pain :

      Farine enrichie (farine de blé blanchie, farine d'orge maltée, niacine, fer réduit, mononitrate de thiamine, riboflavine, acide folique, enzymes), eau, sirop de maïs riche en fructose, sucre, levure, huile de soja et/ou huile de soja partiellement hydrogénée, contient 2% ou moins des ingrédients suivants : sel, sulfate de calcium, carbonate de calcium, gluten de blé, sulfate d'ammonium, chlorure d'ammonium, améliorant de pâte (stéaroyl lactylate de sodium, émulsifiant, acide ascorbique, azodicarbonamide, monoglycérides et diglycérides, monoglycérides éthoxylés, phosphate monocalcique, enzymes, gomme de guar, peroxyde de calcium, farine de soja), propionate de calcium et de sodium (conservateurs), lécithine de soja.

      Des trucs supers, non ? Vous devez apprécier surtout le sirop de glucose à haute teneur en fructose (pour chopper le diabète ?), l’huile de soja partiellement hydrogénée (pour les maladies cardiaques ?) et la longue liste de produits chimiques tels que le sulfate d'ammonium et le propionate de sodium. Miam-miam. Je bave rien que d’y penser.

      Voici maintenant le point vraiment choquant dans tout ça : À mon avis, aucun être raisonnable (sauf l’homme) ne mangera du pain de hamburger McDonald, car ce n'est pas de la nourriture !

      Il s’avère qu’aucun animal normal, bactérie ou moisissure, ne confondra le pain de hamburger McDonald avec de la nourriture. Selon leur ressenti, ce n’est tout simplement pas un truc comestible. C'est pourquoi ce pain pour hamburger bionique ne peut tout simplement pas se décomposer.

      Ceci m'amène à la conclusion de cet intermède totalement risible : Il n’existe sur la planète Terre qu’une seule espèce assez stupide pour penser qu’un hamburger McDonald est de la nourriture. Cette espèce souffre d’une grimpée en flèche des taux de diabète, de cancer, de maladies cardiaques, de démence et d'obésité. Cette espèce, qui prétend être la plus intelligente de la planète, se comporte pourtant d’une manière si débile qu'elle nourrit ses propres enfants de trucs chimiques toxiques et de ces atroces aliments bidons que même les champignons sont incapables de manger (et, juste pour votre information, les champignons mangent le fumier de vache).

      Intéressé de deviner de quelle espèce je parle ?

      Voilà le vrai sujet de l’histoire. Ce n'est pas que les hamburgers McDonald ne se décomposent pas, c'est que les gens sont assez stupides pour les manger. Mais ce n’est pas de si tôt que vous trouverez cette histoire rapportée sur CNN."

 

 

 

Le(s) bonbon(s) au titanium

Dans la longue saga des additifs  soupçonnés d’être cancérigènes, le Titanium (Ti02) dans les bonbons, pas si bons que ça  finalement….

Voilà une nouvelle qui risque de plomber l’ambiance chez les fabricants de confiseries. Selon les chercheurs de l’Université d’Arizona, dont la trouvaille a été publiée dans la revue de la société américaine de chimie, les enfants qui se goinfrent de bonbons, chewing-gums et autres guimauves ne risquent pas seulement d’avoir les dents gâtées à cause du sucre, ils font aussi le plein de dioxyde de titane, un additif classé « cancérigène possible pour l’homme »

Le TiO2 de son petit nom, est un nano-ingrédient (pour mémoire, un nano, c’est un millionième de millimètre) dont les industriels de l’alimentation raffolent parce qu’il permet par exemple aux bonbons d’être particulièrement chatoyants.

Prenez les fameux M&M’s. Une fois que vous avez badigeonné de sucre votre cacahuète grillée, il suffit de l’enrober de dioxyde de titane pour être certain que le colorant va briller de tous ses feux, et ne pas baver.

Des nanoparticules, on nous en met un peu partout : pour épaissir le ketchup, blanchir la sauce vinaigrette, éradiquer le grumeau dans les préparations industrielles pour desserts…

Le seul souci, c’est qu’on ignore comment elles se comportent dans notre organisme. Les seules études concernent les ouvriers dont les poumons se font dézinguer par les nanoparticules qu’ils inhalent dans les usines. 

Il y a deux ans, l’Anses, l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire des Aliments, prévenait : « Il n’est pas possible d’évaluer l’exposition du consommateur ni les risques sanitaires liés à l’ingestion de nanoparticules ».

Depuis, un groupe de travail d’une quinzaine d’experts phosphore sur les dangers des nano-ingrédients, avec en tête de gondole le dioxyde de titane. Résultat en février 2013.

De son côté, l’Europe, après un an de négociations à couteaux tirés, vient enfin d’adopter une définition officielle du nano-aliment, laquelle fait la part belle aux industriels.

Est considéré comme un « nanomatériau » tout produit dont au moins 50 % des particules sont situées entre 1 et 100 nanomètres, ce qui en exclut une palanquée… Surtout, d’ici à 2013, rien ne les oblige à indiquer sur l’étiquette la présence d’un nano-ingrédient.

Et tant pis si c’était une promesse du Grenelle 2. Bref, à moins de savoir, par exemple, que derrière le E171 se cache le dioxyde de titane, on est bonbon...

(Source)

 

NUTELLA

Le Nutella contient du PEHP, le phtalate le plus dangereux

Dans le reportage d'Arte diffusé ce mardi 27 juillet 2010 on apprend que la pâte à tartiner fétiche des enfants, le fameux NUTELLA contient en fait un phtalate considéré comme le plus dangereux, le DEHP et décelé par l'Office Fédéral de l'environnement.
La société Ferrero reconnait sa présence dans le produit mais en quantité inoffensive selon elle. Il est déjà interdit dans l'industrie des jouets pour sa dangerosité et sera définitivement interdit en Europe fin 2012, mais d'ici là on continue de le retrouver dans un produit alimentaire de consommation courante.
Les phtalates agissent comme un leurre hormonal et provoquent des dérèglements hormonaux, ils induisent une stérilité de l'homme. Ingérés par la femme enceinte, ces poisons atteignent le foetus et entravent le développement des testicules. Ces plastifiants entrainent une atrophie testiculaire qui conduira plus tard à la réduction de production de spermatozoïdes.
Une étude en Allemagne a démontré sur 600 enfants que 100 % d'entre eux avaient dans leur corps des traces de phtalates. Chez tous les enfants, on y retrouve 5 phtalates et chez 20 % des enfants ces phtalates sont en quantité toxique. Si on considère l'effet d'accumulation et l'effet cocktail des phtalates, alors c'est probablement 80 % des enfants qui absorbent des quantités déraisonnables de phtalates. Alors vous irez encore acheter du Nutella pour le goûter des enfants ?

Précision : le phtalate DEHP est le plastifiant le plus utilisé sur le marché asiatique. Or de nombreux emballages viennent aujourd'hui de Chine et introduisent avec eux le dangereux plastifiant en Europe. Cette substance comporte de si grands risques que même en Chine il est interdit de l'utiliser dans l'industrie alimentaire et fouragère.

Sinon dans le Nutella il y a aussi de l'huile de palme et des OGM (cf guide GreenPeace)

(source)

Si vous aimez l'huile, mangez nutella
 
En France : sucres (~55,2%), huile végétale (huile de palme ~17,3%), noisettes (13%), cacao maigre en poudre (7,4%), lait écrémé en poudre (6,6%), lactosérum (petit lait ~0,8%), émulsifiant : lécithine de soja (~0,3 à 0,7%), arôme (<0.7%)11. (source)

 

DANONE "ACTIVIA"

"DANONE" obligé de retirer sa publicité mensongère après 15 ans de matraquage et de dégâts :

Le « pavé dans le pot de yaourt » qu'a lancé Didier Raoult, chercheur français, dans la prestigieuse revue scientifique «Nature» de septembre 2009 a fini par être payant.

Pour le patron du labo de virologie de la Timone à Marseille, les yaourts et autres boissons lactées farcis aux pro biotiques que l'on nous fait avaler depuis près de 20 ans auraient une grosse part de responsabilité dans l'épidémie d'obésité qui frappe les enfants.

Les pro biotiques que Danone ajoute à tout va dans divers yaourts sont selon les allégations de la marque assénées à la télévision, censées « booster » les défenses immunitaires. On en trouve plus de 1 milliard par pot d'Activia ou d'Actimel.

Le hic est que ces bonnes bactéries «actives et vivantes », dixit Danone, sont les mêmes que celles utilisées depuis longtemps dans les élevages industriels comme activateurs de croissance pour faire grossir plus rapidement cochons et poulets. Un porc ainsi gavé de pro biotiques, c'est plus de 10 % de gagné sur la balance.

Danone pousse donc à « élever » nos enfants comme des cochons ou des poulets !

En fait, en début d'année, des chercheurs ont eu l'idée de comparer la flore intestinale des obèses et des non obèses. Et là, surprise, les premiers étaient bourrés de pro biotiques, ceux qu'on trouve justement dans les yaourts «santé plus».

Didier Raoult commente : « On a autorisé pour l'alimentation humaine des activateurs de croissance utilisés dans les élevages, sans chercher à savoir quel serait l'effet sur les enfants ». Du coup, celui-ci a réclamé des études pour connaître le rôle précis de TOUS les produits lactés dans l'épidémie d'obésité infantile.

En outre, il n'y a pas que les enfants qui sont victimes de cette supercherie :

« J'ai rencontré de nombreuses femmes potelées bien que sous alimentées, et qui cherchaient désespérément à maigrir en se limitant à quelques yaourts par jour plus quelques babioles ».

Et désespérante désillusion, elles continuaient à grossir, étaient de plus en plus fatiguées et fragiles....

Finalement, les semeurs d'alerte indépendants ont fini par émouvoir les services officiels avant que le scandale n'éclate trop au grand jour.

C'est ainsi qu'ils viennent de mettre la pression sur le groupe Danone, l'obligeant, selon les termes délicats des grands journaux « à revoir sa copie » (Un monstre comme Danone, ça se ménage).

Il faut tout de même réaliser que cela pourrait être un coup dur pour le lobby puisque les groupes Actimel Europe et Activia Europe pèsent ensemble > 1,5 milliards d'Euros sur un chiffre total Danone de 15 milliards, soit 10 %.

Mais ne nous faisons guère de soucis pour cette entreprise de tricheurs, car entre ses discrètes et adroites manœuvres de retrait publicitaires et les addictions de beaucoup de consommateurs, il n'y a pas vraiment le « feu au lac », en attendant qu'on nous invente une autre « Salade à la mode ».

Faites passer le message...
c'est de la salubrité publique...!

Source : http://blogs.mediapart.fr/blog/christianepicurien/011211/danone-oblige-de-retirer-sa-publicite-mensongere-apres-15-ans-de
Source : http://loukoum-cie.over-blog.com/article-danone-oblige-de-retirer-sa-publicite-mensongere-apres-15-ans-de-matraquage-et-de-degats-88660885.html

 

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"Arsenic, plomb, dioxines… Nos aliments contaminés"

 

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http://www.greenpeace.org/france/detectivesOGM/ogm-le-dossier
http://www.ilsontchoisidedirenon.org

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