le 10 avril 2011 - remis à jour périodiquement
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La grèce et l'europe en perte de vitesse, les "révolutions" arabes, les mouvements de protestation en amérique: le monde en crise




 


Drapeau noir

Que répondre si quelqu’un me dit «que veux tu alors; changer l’humanité?» Je répondrai:
«non quelque chose de plus modeste; que l’humanité se change elle-même.» (Cornelius Castoriadis)

HISTOIRES DE GUERILLAS

 

 

 

UN AUTRE MONDE EST POSSIBLE

 

 

 

LA BANDE A BAADER
la lutte armée révolutionnaire allemande

Dans les années 70, l'Allemagne est la proie d'attentats à la bombe meurtriers. Sous la conduite d'Andreas Baader, Ulrike Meinhof et Gudrun Ensslin, une nouvelle génération radicalisée entre violemment en guerre contre le nouveau visage du fascisme: l'impérialisme américain soutenu par les membres de l'establishment allemand, dont certains ont un passé de nazi. Leur objectif est de créer une société plus humaine. L'homme qui les comprend est aussi celui qui les pourchasse : le chef de la police allemande, Horst Herold. Et même s'il réussit à capturer les jeunes activistes, Herold sait qu'il ne s'agit que de la partie émergée de l'iceberg. Voyage au sein de la R.A.F (Roth Army Faktion = Faction armée rouge) voir le film (inscription requise)

 

 

Ernesto Guevara EL CHE  

télécharger // Partie 2

 

LES BLACK PANTERS  

 

 

LE LARZAC

 

Plogoff - des pierres contre des fusils
L'affaire de Plogoff désigne le projet d'installation d'une centrale nucléaire sur la commune de Plogoff, en France et la mobilisation populaire que ce projet a déclenchée contre lui entre 1978 et 1981. Les manifestations ont abouti à son abandon. « Pour l’une des premières fois, les habitants d’une petite commune ont réussi à faire plier un projet d’aménagement “d’intérêt général” porté par l’État. »

 

 

KANEHSATAKE: 270 ANS DE RÉSISTANCE

Documentaire sur la confrontation historique qui a propulsé les problèmes des Autochtones de Kanehsatake et du village d'Oka au Québec au premier plan de la scène internationale et de la conscience des Canadiens. Au cours de cet été épuisant de 1990, la productrice et réalisatrice Alanis Obomsawin, elle-même Abénaquise, a passé 78 jours et nuits angoissants derrière les barricades dressées par les Mohawks, à tourner des images du conflit armé les opposant à la Sûreté du Québec et l'Armée canadienne.

 

 

 

Carlos

The Weatherman, plus souvent appelés Weathermen, et devenu après leur passage à la clandestinité The Weather Underground puis The Weather Underground Organisation, était un collectif américain de la gauche radicale, se présentant comme anti-impérialiste et anti-raciste, fondée en 1969 à Chicago à partir des décombres du Students for a Democratic Society (SDS) qui avait lancé la campagne contre la guerre du Viêt Nam. Proche de la New Left, ses membres étaient sur des positions tiers-mondistes qui refusaient tout autant l'alignement sur le bloc de l'Est que l'anti-communisme traditionnel de la gauche libérale américaine.

Classé par le Federal Bureau of Investigation comme une « organisation terroriste »1 et définie plus particulièrement par certains auteurs comme ayant pratiqué la « guérilla urbaine »2, le Weather Underground pratiquait essentiellement la « propagande par le fait » (ils utilisaient le terme de « propagande armée » par contraste avec la « lutte armée » 3). En effet, elle fut responsable d'une vingtaine d'attentats à la bombe, qui n'ont cependant fait aucune victime: les Weathermen visaient exclusivement des bâtiments officiels, plus ou moins liés à la guerre du Vietnam, s'assurant que les locaux étaient vides, et ce afin d'attirer l'attention de l'opinion publique sur les liens entre, par exemple, certains centres de recherche universitaire et le complexe militaro-industriel américain, et afin d'alléger le poids de la répression étatique (programme COINTELPRO, etc.) sur d'autres mouvements comme les Black Panthers ou l'American Indian Movement, dont ils revendiquaient la légitimité de la lutte

 

"Le 18 mars 2000, quatre membres de l'organisation terroriste NIHON SEKI GUN (l'Armée Rouge Japonaise) étaient rapatriés depuis le Liban pour être jugés au Japon, après 28 ans de clandestinité. Chacun d'entre eux, à des degrés divers, a participé ou collaboré à des attentats en Israël, en Europe ou en Asie. Quelques mois plus tard, Fusako Shigenobu, surnomée la reine rouge dans les camps palestiniens de la vallée de la Békaa libanaise était à son tour arrêtée, après avoir dirigé l'organisation terroriste japonaise pendant 30 ans. Qui sont-ils ? Qu'est-ce que le SEKI GUN, la plus mystérieuse organisation terroriste d'extrême gauche des années 70-80 ? Pour le comprendre, il faut retourner plus de trente ans en arrière, reprendre l'écheveau d'une épopée complexe et sanglante, qui débuta par le GAKUSEI UNDO (le mouvement étudiant) de la fin des années 60.."
En voir plus sur : http://www.vodeo.tv/5-31-3581-japon-les-annees-rouges.html?PARTID=9084

Japon : les années rouges etoile
 

 

"Véritable mythe, Carlos a frayé avec l’ensemble du réseau terroriste mondial des années 1970 et 1980, de l’activisme pro-palestinien à l'Armée rouge japonaise. Il s’est imposé à la fois comme une figure de proue de l’extrême gauche romantique qu’en tant que mercenaire opportuniste. Manipulé aussi bien par les services secrets de pays arabes que par les pays occidentaux, il a construit sa propre organisation terroriste. Personnage complexe, il a “travaillé“ pour tout le monde : le Front populaire de libération de la Palestine, la Syrie, la Libye, l’Irak et la Roumanie de Ceausescu."

"Durant deux décennies, Carlos fut l'un des terroristes les plus recherchés de la planète. Abandonné par tous, en exil au Soudan, il sera finalement capturé et ramené à Paris. Qui était le vrai Carlos ? Comment ses différentes identités, entrecroisées, superposées, s'articulent-elles ? Quel est son vrai visage ? Qui était-il avant de s'engager corps et âme dans cette lutte sans fin ? Autant de questions soulevées par ce film qui décrypte, de façon quasi clinique, les relations internationales d’une époque où la frontière entre diplomatie et droit commun était toute relative."

 

A.E. ne relaiera pas les luttes armées qui prennent pour cible des civils -le peuple- tel le combat séparatiste de l'ETA qui a tué des innocents -après des débuts plébiscités- , ni ne relaiera la trahison castriste à l'encontre du peuple cubain et de certains de ses plus valeureux révolutionnaires. (Castro devait remettre le pouvoir au peuple, au lieu de le garder; il a aussi voulu faire assassiner certains de ses lieutenants). (Pour comrendre notre point de vue, voir entre autre les docus sur l'ETA: "ETA une histoire basque" et le cycle cubain de documentaires: "Fidel Castro", "Les Russes à Cuba" et "L'histoire me jugera"

 


Drapeau rouge

Révolution

= REVOLUTIONONS LE MONDE =
le futur de l'humanité se joue en ce moment
Amérique du sud, Amérique centrale, Méditerranée, Europe
REVOLUTION MONDIALE !

15 octobre 2011: Tous unis pour un changement mondial la page



BASE DE DONNEES CRYPTOME DES PHOTOS DE MANIFESTATIONS DANS LE MONDE
 










Le capitalisme agonise, achevons-le
par le Groupe Autonome Pacifisme Armé
CMAQ - 10 aout 2011
http://www.cmaq.net/fr/node/44 328

DU MOUVEMENT SOCIAL À L’OFFENSIVE INSURRECTIONNELLE

Le capitalisme s’est tiré une balle dans le pied, coupons-lui la jambe ! Les bourses s’effondrent avec leur monde qui s’écroule, et nous nous en réjouissons. Les banques paniquent sur de l’argent virtuel tandis que les populations crèvent de faim, cela ne nous surprend même plus. Que leur système s’effondre, que leur monde dégueulasse s’écroule, nous en rions avec une joie armée.

Les mouvements sociaux vont se multiplier et se radicaliser, de la Grèce à l’Espagne comme dans toute l’Europe et aux États-Unis. Les années 2010-2012 sont charnières, avec les refleurissements d’insurrections populaires, de mouvements sociaux explosifs, de renversements de gouvernements et de régimes, d’occupations, de grèves sauvages, d’actions directes, dans un contexte d’effondrement financier de l’empire américain et de la dégringolade du capitalisme. À cela les États s’associent pour planifier des plans d’austérité et simultanément des mesures répressives et sécuritaires contre-insurrectionnelles préventives.

L’ennemi sait ce qu’il fait, il l’a toujours su. Il n’y a rien à en attendre, rien à en espérer, rien à en parler sinon de sa chute qu’il s’agit de précipiter.

L’heure est à la coordination et à la solidarité offensive, à l’anticipation et à la préparation, que lors des prochains mouvements sociaux en France comme partout, chaque journée plan-plan syndicale tourne en journées insurrectionnelles comme le 26 mars à Londres. Nous revendiquons la violence insurrectionnelle, pour frapper et faire reculer la police, pour occuper lieux de travail et de consommation, pour bloquer les flux économiques, pour occuper et paralyser les lieux de pouvoir, pour procéder à la solidarité insurrectionnelle en acte: pillage et sabotage, redistribution directe des richesses, Comités Populaires et Assemblées de Quartiers, harcèlements sur les forces répressives. Il n’y aura pas de trêve.

Nous sommes en guerre, pas pour la paix mais la victoire.

L’horreur qui s’allie à l’absurde, telle est et a toujours été l’« actualité » dominante, qui troque le génocide en Afrique par famine et soif planifiées par la découverte de l’eau sur Mars, qui préfère parler de la météo pluvieuse d’été plutôt que la révolution populaire en Syrie ou l’insurrection au Chili réprimées militairement et dans le sang, préfère pleurer sur la récolte de fraises avortée ou au pire de quelques vitrines brisées que de la mort par balles policières de nombre de nos petits frères dans nos rues, des baisses de salaire ou des expulsions-destructions industrielles de vies humaines « sans-papiers ».

De cela, nous ne sommes pas surpris. De cela, nous prenons acte. Et de cela, nous nous auto-organisons pour multiplier les actes de guerre. Alors que le national-socialisme historique ressurgit avec le mouvement rouge-brun, sur fond de leur crise généralisée et du pullulement des Camps de Rétention, nous répliquerons par des groupes de veille et d’autodéfense.

L’heure n’est pas à l’armistice, le ton est de guerre: désormais chaque manif, nous viendrons équipés, avec boucliers, casques, lunettes, masques à gaz, avec des objectifs de terrain et politiques, desquels nous anticiperons la logique répression d’État par des voies de sortie et des options de retraite tactique.

Nous soutenons inconditionnellement toutes les luttes locales qui sont des reflets « nouveaux » en Europe de la guerre sociale contre la société totalitaire-marchande: de Val di Susa qui se bat contre l’implantation capitaliste d’une ligne de TGV rentable aux espaces autonomes en Allemagne ou Hollande rasés pour faire des centres commerciaux et des hôtels haut de gamme, de Notre-Dame-Des-Landes qui se défend contre un projet juteux d’aéroport international aux Tanneries de Dijon.

De l’urgence sociale où les populations crèvent à l’urgence planétaire de la destruction physique de l’éco-système par leurs industries mortifères et la terreur nucléaire, nous ne nous laisserons pas couler avec leur système mais au contraire tisserons des liens de solidarité et de partage pour prévenir la fin de leur monde, développerons et créerons des espaces autonomes et autogérés, nous équiperons et nous coordonnerons défensivement et offensivement, nous entraiderons, nous serrerons les coudes et relevons la tête fièrement et en plein jour.

Plus que jamais, luttons par tous les moyens et solidairement pour un monde sans chef ni frontières, sans domination ni exploitation, sans État ni prison, sans police ni mâtons, sans Pouvoir ni nucléaire, sans spectacle ni salariat.

La guerre sociale continue, encore et toujours.
Solidarité offensive !

Groupe Autonome Pacifisme Armé – 8 août 2011.

 

 

 

Bébé révolutionnaire


L’Internationale altermondialiste contemporaine

 

« Nul n'est plus désespérément esclave que ceux
faussement convaincus d'être libres »

Thomas Paine (1737–1809) 


« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est,
pour le peuple et pour chaque portion du peuple,
le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs »

(art. 35 de la Declaration des Droits de l'Homme - 1793)

 

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