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=L'ANARCHISME=
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PoingL'Anarchisme; vaste sujet !
S'y intéresser, c'est aller au delà de l'image négative véhiculée par le pouvoir (médias et gouvernements). C'est se rendre compte qu'il s'agit sûrement d'une des meilleure alternative au système actuel.

Cependant, l'anarchisme moderne peut susciter des craintes et des vétos, de par les dissensions en son sein (mais Qui n'en a pas) et les valeurs biaisées par une grande frange auto-revendiquée "anarchiste" qui réagi de façon dogmatique avec les préceptes de base, comme tout bon extrémiste religieux qui applique des écrits à sa sauce en détournant des principes fondamentaux. Ainsi des fois, c'est les plus aptes à combattre le fascisme qui réfléchissent et réagissent de manière "fascisante".

 

Idees toutes faites

 

IDEES RECUES

  • L'anarchie est contre la propriété. Mais pas n'importe laquelle ! la "propriété personnelle" c'est à dire jouir de son toit, est bien entendu une liberté. C'est la "propriété spéculative" (immeubles de location, ...) ou la propriété personnelle des moyens de productions qui tendra à disparaitre au profit de la collectivité.
  • Le communisme autoritaire est cette doctrine qui a échoué (Staline ...), en opposition au COMMUNISME LIBERTAIRE qui a par exemple fonctionné vers 1936 dans certaines régions d'Espagne avant le francisme (voir aussi la "Commune de Paris" et ses communards) (Ces périodes sont abordées plus bas)



Anarchisme vivant

Tentative de DEFINITION

L'anarchisme est un courant de philosophie politique développé depuis le XIXe siècle sur un ensemble de théories et pratiques anti-autoritaires. Fondé sur la négation du principe d'autorité dans l'organisation sociale et le refus de toutes contraintes découlant des institutions basées sur ce principe, l'anarchisme a pour but de développer une société sans domination, où les individus coopèrent librement dans une dynamique d'autogestion.

L'anarchisme est une philosophie politique qui présente une vision d'une société humaine sans hiérarchie, et qui propose des stratégies pour y arriver, en renversant le système social actuel.

L'objectif principal de l'anarchisme est d'établir un ordre social sans dirigeant. Un ordre fondé sur la coopération volontaire des hommes et des femmes libres et conscients qui ont pour but de favoriser un double épanouissement: celui de la société et celui de l'individu qui participe au premier.

À la source de toute philosophie anarchiste, on retrouve une volonté d'émancipation individuelle et/ou collective. L'amour de la liberté, profondément ancré chez les anarchistes, les conduit à lutter pour l'avènement d'une société plus juste, dans laquelle les libertés individuelles pourraient se développer harmonieusement et formeraient la base de l'organisation sociale et des relations économiques et politiques.

 

Capital.DEBOUT !
 

Etoile noireÉtymologie

Le terme anarchie est un dérivé du grec « ἀναρχία » (« anarkhia »). Composé du préfixe a- privatif an- (en grec αν, « sans », « privé de ») et du mot arkhê, (en grec αρχn, « origine », « principe », « pouvoir » ou « commandement »). L'étymologie du terme désigne donc, d'une manière générale, ce qui est dénué de principe directeur et d'origine. Cela se traduit par « absence de principe », « absence de règle », « absence de chef », « absence d'autorité » ou « absence de gouvernement ».

Dans un sens négatif, l'anarchie évoque le chaos et le désordre, l'anomie. Et dans un sens positif, un système où les individus sont dégagés de toute autorité. Ce dernier sens apparaît en 1840 sous la plume du théoricien socialiste Pierre-Joseph Proudhon (1809-1865). Dans Qu'est-ce que la propriété ?, l'auteur se déclare anarchiste et précise ce qu'il entend par anarchie: « une forme de gouvernement sans maître ni souverain ».


Etoile noire Précurseurs de l'anarchisme

Pour de nombreux théoriciens de l'anarchisme, l'esprit libertaire remonte aux origines de l'humanité. À l'image des Inuits, des Pygmées, des Santals, des Tivs, des Piaroa ou des Merina, des sociétés fonctionnent, parfois depuis des millénaires, sans autorité politique (État ou police) ou suivant des pratiques revendiquées par l'anarchisme comme l'autonomie, l'association volontaire, l'auto-organisation, l'aide mutuelle ou la démocratie directe.

Les premières expressions d'une philosophie libertaire peuvent être trouvées dans le taoïsme et le bouddhisme. Au taoïsme l'anarchisme emprunte le principe de non-interférence avec les flux des choses et de la nature, un idéal collectiviste et une critique de l'État ; au bouddhisme, l'individualisme libertaire, la recherche de l'accomplissement personnel et le rejet de la propriété privée.

Un courant individualiste et libertaire peut également être trouvé dans la philosophie de la Grèce antique.

Certains éléments libertaires du christianisme ont influencé le développement de l'anarchisme, en particulier de l'anarchisme chrétien. À partir du Moyen Âge, certaines hérésies et révoltes paysannes attendent l'avènement sur terre d'un nouvel âge de liberté. Des mouvements religieux, à l'exemple des hussites ou des anabaptistes s'inspirèrent souvent de principes libertaires.

Plusieurs idées et tendances libertaires émergent dans les utopies françaises et anglaises de la Renaissance et du siècle des Lumières. Pendant la Révolution française, le mouvement des Enragés s'oppose au principe jacobin du pouvoir de l'État et propose une forme de communisme. En France, en Allemagne, en Angleterre ou aux États-Unis, les idées anarchistes se diffusent par la défense de la liberté individuelle, les attaques contre l'État et la religion, les critiques du libéralisme et du socialisme. Certains penseurs libertaires américains comme Henry David Thoreau, Ralph Waldo Emerson et Walt Whitman, préfigurent l'anarchisme contemporain de la contre-culture, de l'écologie, ou de la désobéissance civile. (wiki)

 

Tract sur l'anarchisme
C'est quoi l'anarchisme

 

Etoile noire LA FEDERATION ANARCHISTE

La Fédération anarchiste est un groupement de militants(tes) politiques organisé sur le principe du libre fédéralisme (c'est à dire la libre association) garantissant aux groupes et aux individu-e-s qui la composent la plus grande autonomie afin de permettre le pluralisme des idées et des actions, dans le cadre d'un pacte associatif que nous appelons nos "principes de base" (disponibles sur demande). C'est notre outil de lutte qui doit être fonctionnel et rationnel. Nous rejetons en effet tout fétichisme d'organisation.

Pas de hiérarchie, donc pas de chefs chez nous ! C'est à tous les militants et militantes qu'il appartient de faire progresser leur organisation. Nous ne reconnaissons pas la division dirigeant-e-s/exécutant-e-s, la participation effective des militants et militantes aux structures collectives de l'organisation est un principe d'éthique et de solidarité.

Ces structures fédérales sont: le "Monde libertaire", journal hebdomadaire, Radio libertaire, hier parisienne, aujourd'hui planétaire, et la librairie du Monde libertaire (Publico), à Paris également.
En dehors de ces oeuvres fédérales, les groupes ont aussi des locaux, souvent des librairies, éditent des revues, menant ainsi leur propre activité au niveau local.


LES BUTS DE LA FA

Nous sommes pour une révolution radicale et globale, à la fois économique, sociale et politique ; pour détruire la société fondée sur la propriété privée ou étatique des moyens de production et de consommation ; pour la suppression de toutes les formes d'exploitation, de hiérarchie, d'autorité. Cette phase de destruction est nécessaire et c'est sans doute pour cela que certaines et certains ne voient ou ne veulent voir les anarchistes que comme des partisans fanatiques du désordre. Qu'ils/elles regardent autour d'eux et qu'ils/elles nous expliquent comment faire pire !

Les anarchistes sont, au contraire, partisans d'une société organisée d'une manière beaucoup plus rationnelle et logique que la jungle capitaliste ou les dictatures marxistes-léninistes. Il s'agit, dans le cadre d'une société libertaire, non pas de gouverner les hommes mais d'administrer les choses au profit de la collectivité toute entière.

Nous voulons construire une société libre sans classes ni Etat, sans patrie ni frontières, avec comme objectifs:
-l'émancipation des individu-e-s
-l'égalité sociale, économique et politique
-la liberté de création
-la justice
-l'éducation libertaire et permanente
-l'organisation sociale sur les bases de la libre fédération des producteurs(trices) et des consommateurs(trices): autogestion
-la démocratie directe
-une économie tournée vers la satisfaction des besoins
-l'abolition du salariat
-l'écologie
-la libre union des individu-e-s ou des populations
-la liberté d'expression
-la libre circulation des individu-e-s.

Voilà en quelques lignes un aperçu de ce que veulent construire les militants et militantes de la Fédération Anarchiste. Rendre possible l'édification d'un ordre social fondé sur l'entraide, la solidarité, sur le respect absolu de l'intégrité physique et morale de l'individu-e, voilà l'idéal qui nous anime et que nous souhaitons partager avec le plus grand nombre pour un monde meilleur.

 

 

 

DES HOMMES


Nous ne prétendrons pas ici retracer l'ensemble de l'Anarchisme et de ses têtes pensantes, nous parlerons juste d'hommes, d'auteurs, phylosophes qu'il sembe importants de connaitre quand on aborde l'anarchisme. Vous trouverez divers pages web qui se chargeront d'être exaustives.

  • Pierre-Joseph Proudhon
  • Mikhaïl Bakounine
  • Francisco Ferrer
  • John Zerzan
Pierre-Joseph Proudhon

Pierre-Joseph Proudhon (né le 15 janvier 1809 à Besançon dans le Doubs, mort le 19 janvier 1865 à Passy, en France) est un polémiste, journaliste, économiste, philosophe et sociologue français. Il fut le premier à se qualifier d'anarchiste. Il a rendu célèbre la formule « La propriété, c’est le vol » (parfois attribuée à tort à Brissot de Warville) qui figure dans son mémoire Qu'est-ce que la propriété ? ou Recherche sur le principe du Droit et du Gouvernement, son premier ouvrage majeur, publié en 1840.

Au sein de l’Association internationale des travailleurs (première Internationale), il y eut une scission entre les anarchistes de Bakounine et ceux de Proudhon. Les mutualistes proudhoniens pensaient que la propriété collective était indésirable et que la révolution sociale pouvait être atteinte pacifiquement.

Proudhon donna dans son Système des contradictions économiques, publié en 1846, une explication de la société fondée sur l’existence de réalités contradictoires. Ainsi la propriété manifeste l’inégalité mais est l'objet même de la liberté ; le machinisme accroît la productivité mais détruit l’artisanat et soumet le salarié ; in fine la liberté elle-même est à la fois indispensable mais cause de l'inégalité.

Dans son livre Les Confessions d’un révolutionnaire pour servir à l’histoire de la révolution de février, Proudhon écrit entre autres choses la phrase « L’anarchie c’est l’ordre sans le pouvoir ». Il tenta de créer une banque nationale pratiquant des prêts sans intérêts, similaire d’une certaine façon aux mutuelles d’aujourd'hui. (wiki)

L’illusion démocratique - Du principe d’autorité en cinq épisodes
Partie 1 - Partie 2 - Partie 3 - Partie 4 - Partie 5

Mikhaïl Bakounine
C'est celui qui opposera le COMMUNISME LIBERTAIRE au communisme totalitaire de Marx. Quand on vous dit que le communisme n'a pas marché, en vous citant Staline, opposez-leur qu'il ne sagissait que d'un communisme totalitaire, avec un tiran à sa tête (cf "La ferme des animaux" d'Orwell).
Mais que le communisme libertaire n'a pas de chef sinon le peuple.

Francisco Ferrer

Francesc Ferrer i Guàrdia (10 janvier 1859 à Alella- 13 octobre 1909 à Barcelone), en castillan Francisco Ferrer Guardia, était un anarchiste, libre-penseur et pédagogue espagnol, fondateur en 1901 de l'École moderne, un projet de pédagogie rationaliste.

Né à Alella, une petite ville près de Barcelone, le treizième des quatorze enfants d'agriculteurs catholiques et monarchistes. À 14 ans, il est placé chez un minotier de Barcelone qui l'influence beaucoup de ses idéaux républicains ; Francisco lit beaucoup, s'intéresse à la politique et commence à fréquenter les milieux socialistes et anarchistes. Autodidacte, il étudie Pi i Margall et les doctrines des internationalistes.

En 1883, il rejoint la compagnie des chemins de fer et travaille sur le trajet Barcelone-Cervère, ce dont il profite pour être un lien entre les partisans de Ruiz Zorrilla, chef du Parti Républicain Progressiste dont Francisco est membre. En 1884, il entre dans la loge maçonnique "Verdad" (Vérité). L'échec du coup d'État du général Villacampa, qui voulait proclamer la République, oblige Francisco à s'exiler à Paris avec Teresa Sanmartí, avec laquelle il a trois enfants. Il y réside entre 1886 et 1901, en tant que secrétaire de Ruiz Zorrilla et professeur d'espagnol. Il s'affilie en 1890 à la loge du Grand Orient de France. Il participe en 1892 au Congrès Libre-Penseur à Madrid, époque où il initie un changement d'idéologie de républicain à anarchiste.

En 1899, six ans après sa rupture avec Teresa, il épouse Léopoldine Bonnard, une maîtresse libre-penseuse avec qui il parcourt l'Europe. Pendant ses années parisiennes, Francisco travaille au projet éducatif de l'École moderne, qu'il établit à Barcelone en août 1901. Le moment est propice, car les milieux ouvriers et populaires d'Espagne, ainsi que la bourgeoisie républicaine la plus radicale, réclament une alternative au modèle national contrôlé de plus en plus par l'Église catholique. L'École moderne soutenue par 120 cercles et associations gagne du terrain ; de nombreux centres éducatifs rationalistes voient le jour dans tout le pays. Dès lors, entre l'Espagne des prêtres, de l'armée et du roi, entre son gouvernement et l'École moderne de Francisco Ferrer.

Grand partisan de la grève comme prélude de la révolution sociale, Ferrer subventionne et écrit pour le journal "La Huelga General" (La Grève Générale) de 1901 à 1903. Il fonde son propre journal "Solidaridad Obrera" (Solidarité Ouvrière) en 1907, et participe en 1909 à la campagne pour la libération des prisonniers de Alcalá del Valle.

La colère secoue la Catalogne contre Madrid, toute engluée dans la guerre coloniale au Rif Marocain.

Le 26 juillet 1909, c'est la grève, puis l'émeute. Dans la nuit du 27, les églises et les couvents sont incendiés. Le 27 et le 28 l'armée fraternise avec le peuple. Barcelone est entre les mains des Libertaires : c'est la Révolution. Francisco Ferrer, tout attaché à ses travaux intellectuels n'est pour rien dans l'évènement : l'histoire en porte témoignage.

Madrid a réagi brutalement ; la révolte noyée dans le sang. L'évêque de Barcelone au nom de tous les prélats de Catalogne, proteste auprès de Madrid « contre les événement de juillet et contre ceux qu'il déclare responsables, c'est-à-dire les partisans de l'École sans dieu, de la presse sectaire et des cercles Anarchistes qu'il faut supprimer ». Francisco Ferrer est arrêté. Il est désigné instigateur des troubles de Barcelone, et est emprisonné.

Le 9 octobre 1909, il comparaît devant le tribunal militaire. Il est jugé coupable devant un tribunal militaire d'être l'un des instigateurs de la Semaine tragique.

Avec Francisco Ferrer, sont enfermés à huis-clos sept officiers. La sentence sera tenue secrète jusqu'au moment où le condamné devra, suivant la règle, « entrer en chapelle » pour se préparer pour l'éternité.

Le 11 octobre, à 3 heures du matin, Francisco Ferrer est transféré à la citadelle de Monjuich et le 12 octobre, à 8 heures on lui notifie sa condamnation à mort.

Au matin du 13 octobre 1909, à 9 heures, entouré des gardes, Francisco Ferrer marche vers son exécution. Malgré ses protestations, l'aumônier de Monjuich le suit pas à pas. Il arrive à la poterne qui donne sur le fossé Sainte-Eulalie.

Il demande à être fusillé debout, face au peloton, sans bandeau sur les yeux. Les officiers exigent qu'on lui mette un bandeau.

Avant que ne claque la fusillade, Francisco Ferrer, d'une voie forte, lance aux soldats du peloton: « Mes enfants, vous n'y pouvez rien, visez bien. Je suis innocent. Vive l'École ».

Il est enterré au cimetière de Montjuïc, à Barcelone.


John Zerzan
John Zerzan (né en 1943) est un auteur américain anarchiste, philosophe du primitivisme. Ses travaux critiquent la civilisation comme oppressante dans son essence, et défendent des modes de vie conçus comme plus libres tirant leur inspiration des chasseurs-cueilleurs préhistoriques. Zerzan va jusqu'à critiquer la domestication, le langage, la pensée symbolique (des mathématiques jusqu'à l'art) et le concept de temps. [LIEN INTERNE: SURPLUS]




DES FILMS

  • La bande à Bonnot, de Philippe Fourastié avec Bruno Cremer, Jacques Brel, 1968.
  • Nada, Claude Chabrol 1974
  • La Cecilia, Jean-Louis Comolli 1975
  • La Belle Verte, France, Coline Serreau 1996
  • Fight Club, États-Unis, David Fincher 1999
  • Vivre l’Utopie ! por Juan Gamero, 96 min, TV Catalunya, 1997 (adaptation française Arte)
  • Albert est méchant, France, Hervé Palud 2004
  • Ni vieux, ni traîtres, Pierre Carles 2006. [page de Pierre Carles sur ce site]
  • Autrement reportage en Suisse, une terre du combat Marx vs Bakounine. [page A.E]
  • Spezzano A, une commune anarchiste en Italie
  • Land and Freedom, Ken Loach
  • La ferme des animaux (G.Orwell)


VIVRE L'UTOPIE ! télécharger
1:34:44
une trentaine de vieux militants anarchistes et libertaires ayant directement été acteurs et témoins de la révolution sociale libertaire et autogestionnaire espagnole de 1936 raconte l'autre société: les usines et terres expropriées et collectivisées, la liquidation de l'Etat et de la propriété privée...

 

NI VIEUX NI TRAITRES télécharger Bit torrent EMULE

Alors que Cesare Battisti est toujours en fuite et que de nombreux anciens activistes politiques sont encore en prison, les deux réalisateurs Pierre Carles et Georges Minangoy vont à la rencontre d'anciens partisans français et catalans engagés dans la lutte anti-franquiste anarchiste des années 1970. Ils interviewent dans ce film d'anciens membres des GARI et du groupe Action directe ainsi que certains de leurs amis.

Le documentaire inclut plusieurs débats au sujet de la légitimité de l'utilisation de la violence afin de résister contre les abus du système capitaliste. Les anciens membres d'Action Directe reviennent sur les actions réalisées en Espagne franquiste et en France dans les années 1970, ils débattent au sujet de la légitimité de leur actions.

Ce film a pour but, selon les réalisateurs, d'ouvrir le débat dans les milieux libertaires sur la légitimité de la violence et la fidélité des choix politiques. Ce film est aussi l'occasion pour les réalisateurs de relayer la campagne pour la libération des prisonniers d'Action directe.

 

 

MUSIQUE

PLUS DE ZIK révolutionnaire

Vinyles

 

DES LIEUX, DES MOMENTS En construction


Nous ne prétendrons pas ici retracer l'ensemble de l'Anarchisme et de ses moments historiques voire contemporains; mais la révolution espagnole est un bel exemple.

La Commune de Paris

La Commune de Paris est une période insurrectionnelle de l'histoire de Paris qui dura environ deux mois, du 18 mars au 28 mai 1871 (pour s'achever par la « Semaine sanglante » du 21 au 28 mai). Cette insurrection contre le gouvernement issu de l'Assemblée nationale, qui venait d'être élue au suffrage universel masculin, établit pour la ville une organisation proche de l'autogestion. Elle fut la réaction à la défaite française lors de la guerre franco-prussienne de 1870.

 

 
La Révolution espagnole de 1936

La guerre d'Espagne (souvent également désignée sous le nom de guerre civile espagnole ou moins fréquemment de révolution espagnole6) est un conflit qui opposa, en Espagne, le camp des « nationalistes » à celui des « républicains » ces derniers réunissant, parfois avec de vives tensions, communistes, socialistes, républicains et anarchistes. Elle se déroula de juillet 1936 à avril 1939 et s'acheva par la défaite des républicains et l'établissement de la dictature de Francisco Franco, qui conserva le pouvoir absolu jusqu'à sa mort en 1975.

Des documentaires sur cette periode:

  • Un autre futur (en 2 volumes vidéo) : « L'Espagne rouge et noir » et « Contre vents et marées » de Richard Prost, Les films du village.
  • Caudillo 1975-1977. Film documentaire de Basilio Martín Patino.
  • Diego (vidéo) : documentaire/interview d'un militant anarchiste (Abel Paz) ayant vécu l'insurrection révolutionnaire espagnole
  • Franco et la guerre civile en Espagne, Production SAGRADA TV, ARTE, Espagne 2005.
  • J'en garde la trace, (la Bataille de l'Ebre) novembre 2004. Film documentaire de Neus Viala, en version française et en version catalane DVCAM. Existe en DVD et VHS. Production et diffusion : Cultures et Communication
  • Journal de Rivesaltes 1941-1942 de Jacqueline Veuve, 1997.
  • No Pasarán, Album Souvenir 2003. Film documentaire de Henri-François Imbert.
  • Spanien! (Espagne!) 1973. Film documentaire de Peter Nestler.
  • Unversöhnliche Erinnerungen 1979. Film documentaire de Klaus Volkenborn, Johann Feindt et Karl Siebig.
  • Victoire de la vie 1937. Film documentaire de Henri Cartier-Bresson. Produit par la centrale sanitaire internationale. 112 mn. Noir et blanc. Film sur l'entraide médicale au service de l'Espagne républicaine assaillie par les troupes du Général Franco. (Mk2 Éditions, 2006)
  • L'Espagne vivra 1938. Film documentaire d'Henri Cartier-Bresson. Produit par le Secours populaire de France et des Colonies. 43 mn. Noir et Blanc. Second documentaire de l’auteur sur la Guerre d'Espagne. (Mk2 Éditions, 2006)
  • Mourir à Madrid de Frédéric Rossif, produit par Nicole Stéphane, 1963.
  • Un 14 juillet 1939 d'Irène Tenèze produit par son auteur avec Les Films d'Ici (1983-1985)
  • Le Mur des Oubliés de Joseph Gordillo (2008)
  • La Suisse et la guerre d'Espagne 1936-1939 La solidarité réalisé par Daniel Künzi (2002)
  • Les tombes perdues des Brigades internationales, documentaire télévisé par l'historien militaire canadien Norm Christie, Breakthrought Films & The History Channel, 2007.

 

 

 

 

VIDEOS

 

 

=LIENS CONTEMPORAINS=

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« Nul n'est plus désespérément esclave que ceux
faussement convaincus d'être libres »

Thomas Paine (1737–1809) 


« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est,
pour le peuple et pour chaque portion du peuple,
le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs »

(art. 35 de la Declaration des Droits de l'Homme - 1793)

 

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